Dana White : McGregor a été ‘LE’ gars depuis le premier jour

Lors d’une inter­view avec Daniel Cor­mier sur The DC Check-In, le pré­sident de l’UFC a expli­qué pour­quoi Conor McGre­gor a été trai­té comme un indi­vi­du « spé­cial » par l’organisation.

“Quand nous avons com­men­cé notre col­la­bo­ra­tion, ce gars était en pleine ascension.”

“Croyez-moi, j’ai eu affaire à des mil­liers de com­bat­tants.” “Jamais il n’a dit, “Oh, ce n’est pas un com­bat pour moi en ce moment” ou “Je ne veux pas si, je ne veux pas ca”. Ce putain de gamin, nous étions dans une mai­son qu’il louait. Je pense que c’é­tait quand [José Aldo s’est reti­ré du com­bat de 2015]. Voi­ci ce qu’il nous a dit : “Je m’en fous de qui tu auras. Je vais m’en­traî­ner. Quand vous aurez un adver­saire, appe­lez-moi et faites-le moi savoir.”

Après sa vic­toire his­to­rique sur José Aldo par KO en seule­ment 13 secondes lors de l’UFC 194, Conor McGre­gor a eu l’oc­ca­sion d’af­fron­ter Nate Diaz, qui com­bat deux divi­sions au des­sus. L’an­cien double cham­pion de l’UFC qui avait tou­jours com­bat­tu en-66kg, a tenu à l’af­fron­ter en ‑77kg, la caté­go­rie de pré­di­lec­tion de Diaz.

“Et puis est arri­vé le com­bat de Nate Diaz, un autre com­bat est tom­bé pour lui, il a dit : Eh bien, com­bat­tons Diaz”. “Fai­sons ce que vous vou­lez”. “Non je ne le veux pas en catch­weight. Cela ne ser­vi­ra a rien si je ne le com­bats pas à son poids.”

Conor McGregor était prêt à affronter n’importe qui

White a pour­sui­vi en affir­mant que la téna­ci­té de McGre­gor et sa volon­té de com­battre n’im­porte qui étaient une carac­té­ris­tique de l’ir­lan­dais depuis le pre­mier jour. Pour cette rai­son, il a obte­nu un trai­te­ment spé­cial, selon le pré­sident de l’UFC.

“Conor McGre­gor est ce type depuis le jour où il est entré dans cette put** de socié­té. Donc, pour que quel­qu’un pointe du doigt et dise : « Oh, ce type béné­fi­cie d’un trai­te­ment spé­cial… » (Parce que) Ce type est spé­cial. Ce mec est vrai­ment spé­cial. Vous savez avec com­bien de com­bat­tants j’ai eu affaire et qui m’ont dit : ” Ce n’est pas bon pour ma marque. ” ” Je ne com­bats pas mes amis… “?