Le roi du Pound for pound de la boxe est éga­le­ment popu­laire et influent en dehors du ring.

Cane­lo Alva­rez a été nom­mé spor­tif le plus influent au monde, selon une étude menée par la socié­té de médias basée à Londres “Sports­Pro”.

Un trio de femmes avec la gym­naste Simone Biles, la star du ten­nis Nao­mi Asa­ka et la joueuse de foot­ball Ash­lyn Har­ris com­plètent la liste des trois premiers.

Le cham­pion des poids lourds, Antho­ny Joshua, est le pro­chain boxeur à figu­rer sur la liste et pointe à la 75^è place. Ger­von­ta Davis arrive en 89^è position.

En MMA, Conor McGre­gor est en tête de liste (56^è), sui­vi de Zubai­ra Tukhu­gov (77^è) et Paige Van­Zant au (100^è).

La liste com­plète des ath­lètes mon­diaux et les don­nées peuvent être consul­tées ici.

Le cham­pion des super-moyens WBC, WBA, WBO et Ring Maga­zine Alva­rez a été clas­sé dans les domaines suivants :

Performances sociales (/125pts)

• Fré­quence : 12
• Por­tée : 55
• Enga­ge­ment : 37

Audience (/125pts)

• Démons­tra­tion des fans : 41
• Attrac­tion des fans : 31

Score de l’in­fluen­ceur : 177

(Le score final est basé sur les per­for­mances rela­tives dans les dif­fé­rentes caté­go­ries et sous-caté­go­ries en com­pa­rai­son directe avec l’en­semble des ath­lètes analysés.)

578 millions de personnes touchées en sept mois.

La socié­té a éga­le­ment dévoi­lé les résul­tats de la force sociale d’Al­va­rez. Il comp­tait 200 publi­ca­tions orga­niques au total et près de 18 mil­lions d’a­bon­nés sur Face­book, Twit­ter, Ins­ta­gram et Tik-Tok. Alva­rez a géné­ré plus de 578 mil­lions d’im­pres­sions pour un taux d’en­ga­ge­ment de 9,79 % avec un taux d’in­te­rac­tion des abon­nés de 4,24 %.

Les don­nées pro­viennent d’un par­te­na­riat avec Zoomph. La socié­té d’a­na­lyse basée en Vir­gi­nie pour les marques, les sports et l’e­sport, a ana­ly­sé plus de 7 000 ath­lètes qui ont été actifs en 2021 sur au moins trois des quatre prin­ci­pales pla­te­formes sociales : Face­book, Twit­ter, Ins­ta­gram et Tik­Tok – entre jan­vier et le 31 juillet.

“Le modèle de nota­tion Zoomph et la défi­ni­tion de la valeur mar­chande sont basés non seule­ment sur le nombre de fol­lo­wers et/ou de likes qu’un ath­lète peut avoir, mais éga­le­ment sur la com­po­si­tion démo­gra­phique et les affi­ni­tés de consom­ma­tion de son public”, a écrit Scott Lewis, direc­teur de la stra­té­gie de Zoomph. ini­tia­tives et veille économique.

« Ana­ly­sés à l’é­chelle mon­diale, les ath­lètes du foot­ball, du cri­cket, des arts mar­tiaux mixtes (MMA), de la boxe, du surf, du ten­nis, du golf, du vol­ley-ball, du sport auto­mo­bile et de l’e­sport ont tous été sui­vis sur les pla­te­formes d’é­va­lua­tion des médias et d’a­na­lyse des consom­ma­teurs de Zoomph via des API directes avec le réseaux sociaux. Sont éga­le­ment inclus dans cette cohorte les ath­lètes olym­piques et ceux des grandes ligues spor­tives nord-américaines.

« Le score final de l’in­fluen­ceur des ath­lètes est basé sur la force rela­tive dans les dif­fé­rentes caté­go­ries et sous-caté­go­ries en com­pa­rai­son directe avec le groupe glo­bal d’ath­lètes analysés. »