Joe Joyce : ‘Ce sera encore une année énorme pour moi’

Bles­sé au poi­gnet, Joe Joyce a été infor­mé qu’il pour­ra de nou­veau s’en­trai­ner cor­rec­te­ment dans six semaines et vise un retour sur le ring en avril.

Le “Jug­ger­naut” était pré­vu pour com­battre au mois de février avec l’in­ten­tion de mon­ter encore son CV et de prendre plus d’ex­pé­rience en vue d’un éven­tuel com­bat pour un titre mon­dial cette année, mais un bles­sure a bou­le­ver­sé son programme.

Le boxeur de 36 ans est clas­sé n°1 par la WBO et est le chal­len­ger offi­ciel pour affron­ter le vain­queur du com­bat revanche Olek­san­dr Usyk-Antho­ny Joshua, qui devrait avoir lieu en avril où mai.

“Je cherche à me battre en avril et il y a de grands com­bats poten­tiels pour moi pour celui-ci, ce qui est quelque chose à espé­rer. Je serai bien­tôt de retour dans six semaines envi­ron et ce sera encore une année énorme pour moi. ” 

Le pro­mo­teur Frank War­ren a confir­mé une pré­fé­rence pour avril en ce qui concerne le retour de Joyce à l’action.

Joyce (13–0, 12 KO) s’est bles­sé après son retour d’un entraî­ne­ment avec son entraî­neur prin­ci­pal Ismael Salas à Las Vegas, avec qui il n’a pas pu tra­vailler tout au long de la pré­pa­ra­tion de son com­bat avec Car­los Takam à Wem­bley en juillet de l’an­née der­nière en rai­son de res­tric­tions de voyage.

Le triomphe par TKO au 6eme round sur le redou­table Takam a ren­for­cé la posi­tion de Joyce avec la WBO et c’é­tait une per­for­mance dont le médaillé d’argent olym­pique 2016 se déclare satisfait.

“Je pense que c’é­tait une bonne per­for­mance de ma part et, du point de vue tech­nique, c’é­tait mieux”, a expli­qué Joyce. ” Takam a réus­si quelques bons coups qui n’ont pas sem­blé me ​​dérou­ter. Je tra­vaillais en quelque sorte sur son timing et j’es­sayais de le tou­cher quand je le pou­vais, tout en essayant d’é­vi­ter ou de blo­quer la plu­part de ses coups qui arri­vaient par-dessus.”

“J’ai trou­vé le timing avec mon jab, puis j’ai réus­si un bon cro­chet du gauche au sixième. Après cela, je me suis dit “d’ac­cord, je n’ar­rê­te­rai pas de don­ner des coups de poing tant que le com­bat ne sera pas arrêté”.