L’un des meilleurs jeunes com­bat­tants de MMA Fran­çais, Salah­dine Par­nasse, est rede­ve­nu cham­pion du KSW ce same­di en pre­nant sa revanche sur Daniel Torres lors du co-main event du KSW 65.

For­ce­ment ce com­bat était très impor­tant pour le repré­sen­tant de la ATCH Aca­dé­my qui se devait de recon­qué­rir la cein­ture afin de pou­voir conti­nuer à se rap­pro­cher de ses objectifs.

“J’ai beau­coup tra­vaillé avec mes coachs, la pré­pa­ra­tion était un peu dure parce qu’on devait com­battre au mois de novembre et fina­le­ment ca a été repous­sé à aujourd’­hui. Donc j’ai eu le temps de me pré­pa­rer, car­dio [et tout ce qu’il faut].”

Torres a eu l’oc­ca­sion de ten­ter une sou­mis­sion par guillo­tine, mais elle n’a pas fonc­tion­né. Par­nasse n’a pas été gêné par cette tentative.

“Non je n’ai rien sen­ti, je savais qu’il ne l’a­vait pas parce qu’il n’é­tait pas enclen­ché sur le coup. Donc je ne me suis pas mis de pres­sion et je l’ai ame­né au sol dès que je pouvais.”

“Main­te­nant voi­la, il a réus­si à me tou­cher au pre­mier round, avec un middle à la cote. C’est pour cela que je n’ai pas été bien au deuxième round.”

Salah­dine était per­sua­dé que sa défaite lors du pre­mier com­bat était un coup de mal­chance. Le Fran­çais a quand même avoué que cette revanche était par­ti­cu­liè­re­ment stressante.

“C’est dur, il faut gérer le stress, il y avait énor­mé­ment de stress et j’ai réus­si à le gérer. Comme j’ai dis, lors du pre­mier com­bat qu’on a fait, il a eu un coup de chance, un lucky punch, là il n’y a plus de chance maintenant”

Cham­pion en titre des ‑66kg, Par­nasse a décla­ré éga­le­ment qu’il sou­hai­tait main­te­nant com­battre pour la cein­ture des ‑70kg qui sera remise en jeu le 15 jan­vier pro­chain entre l’ac­tuel cham­pion Marian Ziół­kows­ki et son chal­len­ger Borys Mań­kows­ki.

“Main­te­nant, pour mon pro­chain com­bat, j’at­tends Marian [Ziół­kows­ki] ou Borys [Mań­kows­ki] pour récu­pé­rer la cein­ture des ‑70kg ! Let’s Go !”

Retrou­vez ci-des­sous le replay de l’in­ter­view d’a­près combat.