Dar­ren Till s’at­tend à ce que Kham­zat Chi­maev soit trop fort pour Col­by Coving­ton.

Avant l’UFC 273, le pré­sident de l’UFC, Dana White, pré­voyait un com­bat entre Chi­maev (11−0) et Coving­ton (17−3) si Chi­maev s’im­po­sait Gil­bert Burns.

Chi­maev a fini par sur­vivre à Burns (20−5) dans un duel intense de 15 minutes, et Till est convain­cu que son bon ami et par­te­naire d’en­traî­ne­ment pour­rait main­te­nant envoyer Coving­ton aux oubliettes.

“J’ai­me­rais le voir com­battre Col­by dans un évé­ne­ment prin­ci­pal en cinq rounds, et je pense que c’est la meilleure chose pour les deux gars”, a décla­ré Till à Sub­mis­sion Radio. “Je pense que Kham­zat peut l’as­som­mer. Je ne pense pas que Col­by ait déjà res­sen­ti de puis­sance comme celle de Khamzat”.

“Kham­zat est évi­dem­ment venu [dans le top 5] très vite. Je pense juste que Kham­zat a tel­le­ment de puis­sance et d’a­van­tage sur lui. Écou­tez, Col­by est un com­bat­tant for­mi­dable. Il est phé­no­mé­nal, mais je vois la vic­toire pour Kham­zat, et j’ai­me­rais voir ça pour le pré­pa­rer pour le titre contre Usman.”

Chi­maev avait sur­vo­lé ses adver­saires jus­qu’à ce qu’il com­batte Burns. “Durin­ho” l’a pous­sé au bord du gouffre, le met­tant au tapis dans le com­bat et for­çant le com­bat­tant invain­cu a sor­tir de sa zone de confort.

Mais Till pense que Chi­maev ne pour­ra que reti­rer du béné­fice d’un com­bat aus­si dur que celui-là.

“Je savais ce que Kham­zat avait ce qu’il faut et ce qu’il a à l’in­té­rieur, mais la meilleure chose qui lui soit arri­vé dans ce com­bat et d’a­voir goû­té un peu à se faire frap­per et à devoir creu­ser pro­fon­dé­ment pour la vic­toire”, a décla­ré Till. “Parce que cela vous change en tant que com­bat­tant, en tant qu’­homme. Alors, je lui ai dit en cou­lisses, je lui ai dit : ‘C’est ce dont tu avais besoin.’”

“C’est pro­ba­ble­ment le meilleur résul­tat que vous auriez pu avoir, parce que main­te­nant vous allez vous entraî­ner encore plus dur, et vous allez écou­ter davan­tage la stra­té­gie de vos entraî­neurs, et il ne s’a­git pas seule­ment d’al­ler là-bas et mettre KO les gars.”