Le pré­sident de l’UFC, Dana White, a don­né ses pre­miers com­men­taires publics concer­nant la nou­velle affaire de Jon Jones.

Ce ven­dre­di, l’an­cien cham­pion des lourds-légers de l’UFC Jon Jones a été arrê­té à Las Vegas par la police, et doit faire fait face à des accu­sa­tions de vio­lence domes­tique, fal­si­fi­ca­tion et dégra­da­tion d’un véhi­cule. Le nou­veau Hall Of Fame doit com­pa­raître devant le tri­bu­nal same­di matin.

“Nous ver­rons com­ment cela se dérou­le­ra léga­le­ment pour lui et où cela fini­ra”, a décla­ré White aux jour­na­listes ven­dre­di. “C’est dif­fi­cile d’a­me­ner ce gars à Las Vegas pour une rai­son quel­conque. Cette ville n’est pas bonne pour Jon Jones, et nous y revoilà.”

“C’est comme… ce n’est même plus cho­quant”, a expli­qué White. “Quand nous l’a­me­nons ici, on sait qu’il va arri­ver quelque chose. Vous ne pou­vez même pas l’in­vi­ter à Las Vegas pen­dant moins de 12 heures pour l’in­tro­ni­ser au Temple de la renom­mée. C’est un pro­blème. Ce gars a beau­coup de démons, mec. Beau­coup de démons.”

“Est-ce vrai­ment cho­quant ? Vrai­ment pas. Ca ne choque même plus main­te­nant. C’est presque comme, ‘Uh oh, ce gars est à Vegas, qu’est-ce qui va se pas­ser aujourd’­hui ?’ Vous espé­rez que le gars va mieux et que ce ne sera pas le cas, mais il prouve qu’à chaque fois qu’il vient dans cette ville il n’ar­rive pas à se tenir.”