Anthony Joshua à peur du géant Zhilei Zhang ? Le chinois pense que oui : “Joshua ne me combattra jamais”

Le boxeur poids lourd Zhi­lei Zhang pense que son ancien rival chez les ama­teurs Antho­ny Joshua l’es­quive depuis long­temps et ne le com­bat­tra pas à l’avenir.

À l’époque où les deux hommes étaient pro­mus par Eddie Hearn et où Joshua déte­nait cer­tains titres des poids lourds, une défense contre Zhang en Chine était fré­quem­ment men­tion­née. Mais les retrou­vailles des rivaux olym­piques de 2012 ne se sont jamais concrétisées.

La popu­la­ri­té de Zhang a lar­ge­ment aug­men­tée ces der­niers mois. Il a bat­tu Joe Joyce à deux reprises et, alors qu’il repré­sen­tait Queens­ber­ry lors de l’é­vé­ne­ment « 5 contre 5 » de juin, il a vain­cu Deon­tay Wil­der qui tra­vaillait pour Mat­chroom. Zhang, cepen­dant, a déduit que Joshua n’avait jamais eu envie de se battre et ne le ferait pas à l’avenir.

Pour rap­pel, Joshua avait vain­cu Zhang aux points dans un duel pré­vu en trois rounds lors des 1/4 de finale des Jeux Olym­piques de Londres en 2012.

“Notez mes paroles, il ne me com­bat pas. Il ne me com­bat­tra jamais”, a décla­ré Zhang lors de son dis­cours sur The MMA Hour. “Les Jeux Olym­piques de 2012, c’est à ce moment-là que nous nous sommes affron­tés pour la pre­mière fois, après ça, ça fait tel­le­ment d’années. J’é­tais avec Mat­chroom et je sais ce qui s’est pas­sé. Je ne pense pas qu’il me recom­bat­tra un jour.”

Joshua a récem­ment affron­té l’an­cien cham­pion du monde de l’UFC Fran­cis Ngan­nou dans un match de boxe pro­fes­sion­nel, Joshua obte­nant un KO sans appel au deuxième tour. Zhang pense que le choix des adver­saires de Joshua lors de ses der­niers com­bats montre qu’il pré­fère affron­ter des adver­saires plus facile plu­tôt que d’af­fron­ter le gau­cher de 120 kg.

“Mes mana­gers se sont envo­lés pour Londres et j’ai reçu des mots. Donc, je ne pense pas qu’il va me com­battre. Regar­dez ses pré­cé­dents adver­saires – Fran­cis Ngan­nou de l’UFC, Robert Hele­nius, je ne pense pas qu’il ait ce qu’il faut pour me tenir tête. La façon dont il sélec­tionne ses adver­saires en dit long sur lui.”