Le combat Joshua-Fury proche d’être signé, une date est évoquée

Si Eddie Hearn a récem­ment annon­cé que le com­bat entre Antho­ny Joshua et Tyson Fury était “conclu”, Il faut cepen­dant savoir que le contrat n’a pas encore été signé.

En effet, si tout se pré­sente rela­ti­ve­ment bien concer­nant l’a­van­ce­ment de ce com­bat qui est annon­cé comme le plus grand com­bat Anglo-Saxon de tout les temps, il va quand même fal­loir attendre au moins quatre semaines pour voir les contrats signés.

“L’ac­cord est conclu, sans être signé”, a décla­ré Hearn.

“La pre­mière par­tie est ok, les pour­par­lers vont bon train, et je m’at­tends à ce qu’un accord soit conclu dans les semaines à venir. Il n’y a aucun site vali­dé pour le moment », a décla­ré Hearn à iFL TV lors des négo­cia­tions Joshua vs Fury.

“Les élé­ments finan­ciers sont ter­mi­nés, nous dis­cu­tons des droits de dif­fu­sion main­te­nant. La seule chose impor­tante qui reste à faire main­te­nant est de tout mettre sur papier.

“Lorsque vous écri­vez un accord comme celui-là, il y de nom­breux échanges et véri­fi­ca­tions avant que chaque lettre ne soit approu­vée sur le docu­ment. Je ne pense pas que l’accord prenne plus de temps que pré­vu, mais le contrat si. Je pense que nous avons la base avec l’ac­cord ver­bal, mais nous n’a­vons pas de contrat signé. ” a ajou­té Hearn.

“Nous sommes main­te­nant dans une posi­tion où tout est en cours de fina­li­sa­tion au sens contrac­tuel, puis nous irons sur les lieux où nous avons eu des offres. Nous pou­vons main­te­nant ren­con­trer les res­pon­sables des éven­tuels lieux du com­bat en étant objec­tif et avec un pro­duit qua­si­ment sur.

“Il n’y a encore aucun lieu conve­nu pour le com­bat, mais des conver­sa­tions sont en cours avec un cer­tain nombre de lieux. Une fois que tout le monde sera prêt, nous irons ensemble dis­cu­ter de ces sites sur les­quels nous avons eu des approches et cher­che­rons à faire la meilleure affaire pour les com­bat­tants, pas seule­ment d’un point de vue finan­cier, mais aus­si d’un point de vue logistique.

Bob Arum évoque les mois de mai et juin pour le combat.

“Il y a beau­coup de chan­ge­ment un pays sort sou­dai­ne­ment de la pan­dé­mie, ils sont vrai­ment agres­sifs, ils ont beau­coup d’argent pour le tou­risme, ils veulent dire : nous sommes de retour. Et puis deux semaines plus tard, ils entrent en lock-out, il est donc très, très dif­fi­cile pour le moment de se dépla­cer avec autant de confiance ou de cer­ti­tude et ce n’est pas le moment idéal pour dis­cu­ter d’é­vé­ne­ments spor­tifs inter­na­tio­naux, mais nous visons fin mai – début juin, où les gens sont beau­coup plus convain­cus qu’il y aura un meilleur endroit pour l’ac­cueillir.” a décla­ré Bob Arum

“Nous avons eu des conver­sa­tions avec l’Aus­tra­lie, Sin­ga­pour, l’A­ra­bie saou­dite, le Qatar, Dubaï, Abu Dha­bi, l’Eu­rope de l’Est, l’A­mé­rique.” réplique Hearn.

“Pour orga­ni­ser ce com­bat, nous devons avoir un sou­tien gou­ver­ne­men­tal impor­tant”, a ajou­té Hearn. “Il va être dif­fi­cile pour un pays qui n’a pas de sou­tien finan­cier du gou­ver­ne­ment de décro­cher un évé­ne­ment comme celui-ci. Vous avez besoin de quel­qu’un qui va mettre en scène le com­bat comme une décla­ra­tion pour son pays, pour faire connaître son pays, pour pré­sen­ter le tou­risme et pour mon­trer que s’est une nation qui fonc­tionne bien. ”