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MMA

Affaire Varela : Jean Michel Foissard dévoile ce qui a complètement chamboulé Wilson avant son combat contre Salahdine Parnasse

Alors que tout sem­blait se pas­ser nor­ma­le­ment pour le com­bat choc entre Salah­dine Par­nasse et Wil­son Vare­la, la réa­li­té était toute autre.

La veille du com­bat, lors de la pesée des com­bat­tants, un pro­blème majeur a com­plé­te­ment chan­ger la donne pour le com­bat­tant Mar­seillais. Alors que nous avions eu un pre­mier retour du Mar­seille Fight Club, coach Jean Michel Fois­sard le soir du com­bat grâce à une inter­view de la Grin­taTV, Fois­sard est reve­nu pour don­ner plus d’ex­pli­ca­tions sur ce qui s’é­tait vrai­ment pas­sé avec Maitres Fumiers sur Instagram.

“Un tricheur et un dopé”

“Les faits ayant alté­ré l’état men­tal de mon com­bat­tant se sont dérou­lés en sor­tant de la visite médi­cale offi­cielle la veille du com­bat. Celle ci s’est bien pas­sé avec l’un des méde­cins fédé­raux, mais lorsqu’il est sor­ti de son box, un second méde­cin l’a inter­pel­lé” et lui a dit : « C’est toi Vare­la ? Ça ne sert à rien que tu com­battes ! Même si tu gagnes on t’enlèvera la cein­ture et tu seras décla­ré per­dant ! Si j’étais toi je ne le ferai pas. En plus de ça tout le monde dira que tu es un tri­cheur et un dopé ».”

Des produits interdits

“Wil­son a pas­sé 4 jours cou­ché avec une angine blanche le 13 décembre. Il est allé voir un méde­cin qui lui pres­crit un trai­te­ment par anti­bio­tique et cor­ti­sone, après avoir fait des recherches sur les temps d’action des molé­cules car noté sur la liste des pro­duits inter­dits. Le trai­te­ment est arrê­té le dimanche car la durée de la demi vie du médi­ca­ment est de 3 jours. Le com­bat ayant lieu le ven­dre­di cela ne pose­rai aucun pro­blème pour le contrôle anti dopage, avec de plus les ordon­nances médi­cales four­nies et tous les textes de la FLD (agence anti­do­page fran­çaise) vérifiés.”

“Je ne suis pas un tricheur !”

« Après les mots accu­sa­teurs (public) de ce Méde­cin, Wil­son est remon­té dans sa chambre avec son mana­ger et le second. Ce jeune homme qui n’a jamais tri­ché de sa vie et qui s’est pré­pa­ré comme un achar­né pen­dant plu­sieurs mois pour le com­bat de sa vie… a com­plè­te­ment décom­pen­sé psy­cho­lo­gi­que­ment dans sa chambre et devant témoins qui m’ont aidé à essayer de le cal­mer pen­dant un très très long moment, tout en hur­lant : « Je ne suis pas un tri­cheur, je ne com­bat­trai pas !». Vic­time d’un malaise et d’une crise de téta­nie, j’ai réus­si avec l’aide de son mana­ger et de mon assis­tant à le cal­mer et à l’endormir. »

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