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UFC

Israel Adesanya admet l’importance du combat contre Nassourdine Imavov

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

Photo du combattant de l'UFC Israel Adesanya

L’UFC Ara­bie Saou­dite 2025 sera la pre­mière fois qu’Israël Ade­sa­nya par­ti­ci­pe­ra à un com­bat sans titre depuis près de six ans.

Ade­sa­nya (24–4) affron­te­ra Nas­sour­dine Ima­vov (15–4 MMA) lors de l’é­vé­ne­ment prin­ci­pal de same­di à l’ANB Are­na de Riyad, en Ara­bie saou­dite. L’an­cien cham­pion des poids moyens de l’UFC est dans la course au titre depuis 2019, mais se trouve actuel­le­ment en ter­ri­toire incon­nu après avoir per­du deux com­bats de titre consé­cu­tifs contre Sean Stri­ck­land et Dri­cus Du Ples­sis.

“The Last Sty­le­ben­der” insiste sur le fait que sa moti­va­tion n’a pas faibli.

“Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de cein­ture en jeu que je veux dimi­nuer ce com­bat comme s’il n’é­tait pas impor­tant”, a décla­ré Ade­sa­nya lors de la jour­née média­tique de mer­cre­di. “C’est tou­jours un com­bat impor­tant pour moi. Encore une fois, je dis que je fais ça pour moi-même. Je suis un peu égoïste.”

« Je me bats pour moi-même, je me bats pour mon équipe, ma famille et mes vrais fans, mais cette fois, je me mets en pre­mier. J’essaie de faire ça pour moi, donc c’est vrai­ment impor­tant pour moi. »

Ade­sa­nya va essayer de mettre un terme à un jeune pré­ten­dant en pleine ascen­sion, Imavov.

« D’après ce que je vois jusqu’à pré­sent, il n’apporte rien que je n’aie déjà vu aupa­ra­vant », a décla­ré Ade­sa­nya à pro­pos d’Imavov. « Je pense que son meilleur atout est sa vitesse. Sa vitesse, ses contres, mais j’ai déjà vu ça aupa­ra­vant. Encore une fois, c’est à lui de me mon­trer quelque chose que je n’ai jamais vu auparavant. »

L’ancien double cham­pion des poids moyens de l’UFC refuse de regar­der au-delà d’Imavov et de pla­ni­fier ses pro­jets futurs, mais il est convain­cu que son héri­tage est déjà gra­vé dans la pierre, quel que soit le résultat.

« J’ai dit « gar­dien » en plai­san­tant au début. « Ouais, je me sens comme le vieux chien et puis il y a les jeunes qui arrivent et qui essaient de faire leurs preuves », a décla­ré Ade­sa­nya. « Donc, c’est mon tra­vail de les ren­voyer en bas et de leur faire savoir que je suis tou­jours là.

« Dieu m’en pré­serve, si je perds mes 10 pro­chains com­bats, cela n’affectera pas mon héri­tage. Donc, je me mets la pres­sion, ne vous mépre­nez pas. Quand le moment sera venu, je me met­trai la pres­sion. S’il ne res­sent pas la pres­sion, tant mieux pour lui, mais il la découvrira. »

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