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UFC

Merab Dvalishvili veut faire la paix avec Umar Nurmagomedov après l’UFC 311

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

photo d' Merab Dvalishvili

Le cham­pion des poids coqs Merab Dva­li­sh­vi­li avait plu­sieurs choses en tête en arri­vant dans la salle de confé­rence pour le Media Day de l’UFC 311.

En tête de liste, cepen­dant, se trouve la que­relle nais­sante avec Umar Nur­ma­go­me­dov, qu’ils régle­ront same­di lorsque Dva­li­sh­vi­li met­tra sa cein­ture en jeu lors du co-main event de l’é­vé­ne­ment qui se tien­dra à l’Intuit Dome.

Les choses se sont enve­ni­mées entre les deux hommes lors d’une confé­rence de presse début décembre, ce qui semble avoir déran­gé Dva­li­sh­vi­li depuis lors, étant don­né que lui et Nur­ma­go­me­dov étaient en bons termes avant cela.

Autant les fans et les experts pour­raient pen­ser que Dva­li­sh­vi­li déteste Nur­ma­go­me­dov, autant il a insis­té sur le fait que ce n’était pas le cas.

« Ce n’est pas vrai. Je n’ai pas besoin de détes­ter qui que ce soit », a décla­ré Dva­li­sh­vi­li. « Vous savez que j’embrassais Sean O’Malley (pen­dant le com­bat prin­ci­pal de l’UFC 306). Je me suis tel­le­ment amu­sé dans l’octogone. J’y sou­riais. Je n’ai pas besoin de détes­ter qui que ce soit. Je ne déteste per­sonne, mais il y a eu des choses dans les­quelles Umar m’a man­qué de res­pect. Il m’a trai­té de faux cham­pion, alors que je ne suis pas un faux champion…»

« Il a men­tion­né mon pays et il a conti­nué à me man­quer de res­pect. Ce n’est pas bien, sur­tout de sa part parce que je le connais. Chaque fois que je le vois, je lui témoigne mon res­pect. J’étais cool avec lui et je le connais en tant que per­sonne. Ce n’est pas comme un jeu vidéo. Nous sommes de vraies per­sonnes. De me faire man­quer de res­pect par Umar, j’étais en colère. »

Qu’il gagne ou qu’il perde, Dva­li­sh­vi­li espère se récon­ci­lier avec Nur­ma­go­me­dov après la fin du combat.

« Bien sûr, je veux lui ser­rer la main et je veux lui témoi­gner du res­pect », a décla­ré Dva­li­sh­vi­li. « Je veux être à nou­veau bon avec lui. Nous devons régler ce pro­blème main­te­nant. Nous sommes des hommes. Ce n’est pas grave. Par­fois, nous nous bat­trons. Je suis juste contra­rié qu’il m’ait man­qué de res­pect. Il ne devrait pas me man­quer de res­pect. Je ne veux pas avoir d’ennemi. »

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