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UFC

Ciryl Gane réagit à sa victoire à l’UFC 310 : “J’ai prouvé que je suis le contender Numéro 1”

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

Le poids lourd Fran­çais Ciryl Gane fai­sait un retour par­ti­cu­liè­re­ment atten­du dans la cage ce same­di à l’oc­ca­sion de l’UFC 310.

Oppo­sé au Russe Alexan­der Vol­kov dans une revanche pré­vue en trois reprise, Gane s’est impo­sé par déci­sion par­ta­gée, un résul­tat qui n’est pas par­ta­gé par tous.

Lors de la confé­rence de presse d’a­près com­bat, Gane a expli­qué qu’il s’é­tait bles­sé à l’or­teil dès les pre­mières secondes du com­bat, ce qui a l’a par­ti­cu­liè­re­ment gêné.

Une blessure à l’Orteil

“C’est (la bles­sure) arri­vé à mon pre­mier tip, c’est arri­vé à ce moment, et cela a chan­gé beau­coup de choses dans mon style, car j’aime bien res­ter sur mes appuis, sur mes pieds, être rapide, envoyé des jabs, donc j’é­tais vrai­ment gêné par ma bles­sure, j’é­tais un peu cham­bou­ler, gêné par la situa­tion mais je suis res­té concen­tré sur mon com­bat, j’ai essayé de res­ter concen­tré, et voila.”

La victoire est là

“Oui bien sur, j’ai la vic­toire, j’ai prou­vé que j’é­tais tou­jours bon, j’ai beau­coup tra­vaillé mon jeu au sol, je l’ai mis dans des situa­tions dan­ge­reuses, je me rap­pel que me coach me disait ‘mets toi sur tes pieds pour fina­li­ser la sou­mis­sion’ mais c’é­tait impos­sible pour moi de prendre mes appuis et donc impos­sible de finir la posi­tion donc oui, il y a eu de la frus­tra­tion mais nous l’a­vons mis en situa­tion de dan­ger donc c’est pour cela que nous avons gagné, donc nous devons être content pour cela.”

Aspinall, Jones en 2025 ?

Je ne vais deman­der per­sonne, je vais juste attendre d’a­voir une dis­cus­sion avec l’UFC, je ne sais pas exac­te­ment ce qu’il va se pas­ser , Jon Jones, Tom Aspi­nall, je ne sais pas ce qui va arri­ver. Mais les gens savent que je suis là et que je suis le vrai conten­der, je l’ai prou­vé ce soir, donc on verra.

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