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Edgar Berlanga détruit Jonathan Gonzalez-Ortiz en un round

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

Photo d'Edgar Berlanga après son combat contre Cabelo Alvarez

Edgar Ber­lan­ga a pas­sé la pré­pa­ra­tion de son com­bat contre Jona­than Gon­za­lez-Ortiz à se plaindre de sa pré­sence en co-main event, six mois après avoir affron­té Saul « Cane­lo » Alva­rez à Las Vegas. Il a nom­mé Jaime Mun­guia, Caleb Plant et Jer­mall Char­lo comme pro­chain adver­saires poten­tiels et a à peine men­tion­né Gonzalez-Ortiz.

Il a démon­tré son mépris pour son adver­saire same­di soir, en le l’en­voyant au tapis à trois reprises et en l’ar­rê­tant dès le pre­mier round d’un com­bat pré­vu chez super-moyens au Caribe Royale Resort d’Or­lan­do, en Floride.

Après avoir patiem­ment tra­qué Gon­za­lez-Ortiz, Ber­lan­ga l’a vio­lem­ment envoyé au tapis d’un cro­chet du gauche à mi-round. Gon­za­lez-Ortiz s’est rele­vé, hési­tant, et l’ar­bitre Chris Young l’a auto­ri­sé à conti­nuer, mais Ber­lan­ga l’a de nou­veau envoyé au tapis. Une fois de plus, Gon­za­lez-Ortiz se rele­va, mais lorsque Ber­lan­ga le fit à nou­veau tom­ber, Young inter­rom­pit le com­bat, tel qu’il était. Le temps était de 2:31.

« Je me sens incroya­ble­ment bien », a décla­ré Ber­lan­ga, 23–1 (18 KO), après coup. « J’ai com­men­cé à voir son œil gon­fler. Il se secouait, mais je sen­tais bien que je lui fai­sais mal. Main­te­nant, je suis libre. Aucun pro­blème avec Eddie Hearn ; c’é­tait un bon pro­mo­teur, mais main­te­nant, je suis libre et je suis sur la bonne voie. »

À vrai dire, Gon­za­lez-Ortiz, qui s’est incli­né à 20–1‑1 (16 KO), n’a­vait rien à faire sur le ring avec un ancien chal­len­ger au titre mon­dial comme Ber­lan­ga. Le pal­ma­rès invain­cu de Gon­za­lez-Ortiz mas­quait le fait qu’il avait pas­sé dix ans hors du ring avant deux com­bats en 2024. Hearn a recon­nu que per­sonne n’é­tait satis­fait de ce duel, mais il a expri­mé l’es­poir que cela n’empêcherait pas Ber­lan­ga de signer à nou­veau avec Matchroom.

« Ce n’é­tait pas une situa­tion idéale, mais à ce niveau-là, on com­bat à ce niveau-là », a‑t-il décla­ré. « Je pense que le com­bat contre Cane­lo Alva­rez fera de lui un meilleur com­bat­tant. J’a­do­re­rais tra­vailler avec lui à l’a­ve­nir. Nous espé­rons que notre rela­tion per­du­re­ra, mais sinon, nous pren­drons une bière ensemble et nous nous envo­le­rons vers le soleil couchant. »

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