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Boxe

La mère de la fille de Gervonta Davis renonce à ses allégations de violence domestique

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

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Le der­nier élé­ment concer­nant l’af­faire de vio­lence domes­tique impli­quant Ger­von­ta Davis pour­rait mettre fin aux charges contre le boxeur.

Une décla­ra­tion a été publiée par Vanes­sa Pos­so, la mère de la fille de Davis et la vic­time pré­cé­dem­ment ano­nyme d’une agres­sion pré­su­mée plus tôt cette semaine. Davis a été pla­cé en état d’ar­res­ta­tion à sa rési­dence du sud de la Flo­ride mar­di après-midi, envi­ron 90 minutes après que la police de Park­land (Flo­ride) ait répon­du aux appels au 911 pas­sés par Pos­so qui allé­guait que sa vie était en danger.

Elle a depuis réfu­té ces affirmations.

“Ces der­niers jours ont été bles­sants et extrê­me­ment épui­sants pour toutes les par­ties impli­quées”, a pos­té Pos­so sur Ins­ta­gram ven­dre­di après-midi. “Je suis fier d’être extrê­me­ment dis­crète ; cette situa­tion était la der­nière chose que je vou­lais rendre publique. l’é­tat de notre rela­tion a été dans une période fra­gile et Ger­von­ta et moi étions tous les deux res­pon­sables de la dis­pute. Alors que les émo­tions étaient fortes, j’ai fait un appel inutile aux forces de l’ordre dans un moment intense alors que j’é­tais frénétique.”

“Ger­von­ta ne m’a pas fait de mal ni à notre fille.”

La décla­ra­tion inter­vient un jour après que les archives judi­ciaires du com­té de Bro­ward ont révé­lé que Pos­so, iden­ti­fié dans les archives judi­ciaires uni­que­ment comme “vic­time”, avait obte­nu une repré­sen­ta­tion légale pour l’af­faire en cours. L’a­vis a été dépo­sé à la fer­me­ture des bureaux mer­cre­di, quelques heures après que Davis (27–0, 25KOs) – ori­gi­naire de Bal­ti­more, Mary­jand – a été offi­ciel­le­ment incul­pé d’un chef d’ac­cu­sa­tion de lésions cor­po­relles cau­sées par des coups et a été libé­ré après avoir dépo­sé une cau­tion de 1 000 $.

Le rap­port de police notait que Davis aurait frap­pé Pos­so “sur le côté droit de sa tête avec une gifle. Cette frappe a cau­sé une petite écor­chure à l’in­té­rieur de [sa] lèvre supé­rieure sur le côté droit de sa bouche.”

Davis avait immé­dia­te­ment contes­té ces affir­ma­tions via les médias sociaux en ren­trant chez lui.

Une date d’au­dience n’a pas encore été fixée. La plus grande ques­tion pour la com­mu­nau­té de la boxe reste de savoir ce que va deve­nir la pro­chaine défense du titre WBA “Regu­lar” léger contre Hec­tor Luis Gar­cia (16–0, 10KO). Les deux boxeurs sont actuel­le­ment pro­gram­més pour s’af­fron­ter le 7 jan­vier à la Capi­tal One Are­na à Washing­ton, D.C.

Concer­nant le litige entre Davis et Pos­so, il semble que des mesures soient prises pour retrou­ver une rela­tion saine.

“Aujourd’­hui, nous avons cher­ché l’aide néces­saire pour avan­cer dans nos vies”, a noté Pos­so. “Je suis convain­cu que nous réus­si­rons dans notre dyna­mique de copa­ren­ta­li­té avec les conseils qui nous sont fournis.”

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