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‘Nous serons champions du monde l’année prochaine’: Keyshawn Davis respire la confiance avant le combat contre Gustavo Lemos

photo de Keyshawn-Davis
Keyshawn Davis - Photo: Mikey Williams / Top Rank

Alors que Key­shawn Davis est sur le point de faire sa pro­chaine appa­ri­tion, en tête d’affiche contre Gus­ta­vo Lemos ce ven­dre­di dans sa ville natale de Nor­folk, en Vir­gi­nie, les deux com­bat­tants ont par­ti­ci­pé à leur der­nière confé­rence de presse avant de se ren­con­trer sur le ring.

Quand on a deman­dé à Davis quelle était l’importance de faire le spec­tacle devant le public de sa ville natale, il a répon­du ceci.

« Chaque fois que je monte sur ce ring, j’adore faire le spec­tacle », a décla­ré Davis. « J’aime m’amuser, mais j’aime aus­si que les gens autour de moi s’amusent, donc chaque fois que vous regar­dez mon com­bat et que j’ai l’impression de ne pas en faire assez, je vais en faire encore plus et même plus. Je suis un com­bat­tant dra­ma­tique. J’aime juste faire des choses inat­ten­dues, alors atten­dez vous à ça ce ven­dre­di soir. »

Quand on a deman­dé à Lemos ce qu’il pen­sait de Davis qui avait peut-être les yeux plus gros que le ventre dans ce com­bat, Lemos a don­né une réponse plu­tôt réservée.

« J’ai tou­jours dit que c’était un bon adver­saire et que nous allions avoir un bon com­bat. C’est ce que j’ai tou­jours dit », a décla­ré Lemos par l’intermédiaire d’un tra­duc­teur. « Je res­pecte tous mes adver­saires, bons ou mau­vais, donc je veux lui sou­hai­ter bonne chance ven­dre­di et qu’il prenne soin de lui. »

Davis a ensuite été inter­ro­gé sur son affron­te­ment avec Lemos à ce stade de sa car­rière et pour­quoi c’était la bonne décision.

« Je me sens prêt à affron­ter n’importe quel adver­saire à 61kg, que ce soit le numé­ro 1 ou le numé­ro 8 ou autre », a décla­ré Davis. « Je me sens prêt à tout. Après ce com­bat, quand j’obtiendrai une vic­toire spec­ta­cu­laire, je vise­rai le titre mon­dial. Donc c’est après ce com­bat, donc Lemos est juste un autre adver­saire devant moi que je dois juste sur­mon­ter cet obs­tacle et nous serons cham­pions du monde l’année prochaine. »

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