Le retour sur le ring de Jamal Ben Sad­dick n’est pas encore prêt d’être évoqué.

Le GLORY a ter­mi­né son enquête sur l’in­ci­dent sur le ring après le match de demi-finale du Grand Prix GLORY Hea­vy­weight le 9 mars 2024. Après concer­ta­tions, l’or­ga­ni­sa­tion a impo­sé une sus­pen­sion de 6 mois à Jamal Ben Sad­dik pour ses actions qui ont conduit au risque d’incitation à la vio­lence et aurait pu cau­ser des dom­mages aux par­ti­ci­pants, aux sup­por­ters et aux officiels.

En plus du code de conduite du GLORY, les ath­lètes et les clubs néer­lan­dais sont sou­mis aux règles dis­ci­pli­naires de la Vecht­sport Auto­ri­teit (VA) par le biais de leurs licences res­pec­tives auprès de l’or­ga­nisme de régle­men­ta­tion. Le VA veille à ce que les pro­mo­teurs enquêtent sur d’é­ven­tuelles vio­la­tions des règles dis­ci­pli­naires et déter­minent les sanc­tions appro­priées. Toutes les sanc­tions sont appli­quées par le VA dans tous les Pays-Bas.

“En tra­vaillant avec le VA et en gar­dant le pré­cé­dent éta­bli par eux, il était clair que notre objec­tif com­mun est de tou­jours repré­sen­ter le sport sous le meilleur jour pos­sible. La déci­sion que nous avons prise s’inscrit dans cet objec­tif. Chez GLORY, nous rever­rons éga­le­ment nos pro­cé­dures et pro­ces­sus pour nous assu­rer de pro­té­ger le sport du kick­boxing, les incroyables ath­lètes qui concourent et nos fans”, a décla­ré Mar­shall Zelaz­nik, PDG de GLORY.

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