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UFC

Dan Hooker : ‘Je ne vais pas encore laisser passer ma chance pour le titre’ après avoir réintégré le top 5 du classement UFC

De retour dans le top 5 du clas­se­ment mon­dial de l’UFC, Dan Hoo­ker ne va pas faire la même erreur.

photo de Dan Hooker

Main­te­nant qu’il est de retour dans le top 5, Dan Hoo­ker cher­che­ra à adop­ter une approche plus prudente.

Hoo­ker (24–12) a réin­té­gré le top 5 des poids légers de l’UFC après avoir vain­cu Mateusz Gam­rot à l’UFC 305 plus tôt ce mois-ci. Hoo­ker se sou­vient que la der­nière fois qu’il était aus­si proche d’un com­bat pour la cein­ture, il avait pris un gros risque qui n’avait pas por­té ses fruits.

“J’ai en quelque sorte appris cela de mon pre­mier rodéo, c’est de ne rien faire de stu­pide cette fois-ci”, a décla­ré Hoo­ker à ESPN Aus­tra­lia. “Je veux dire, la der­nière fois que j’étais n°5, j’ai accep­té de com­battre Michael Chand­ler. J’ai don­né une chance à Michael Chand­ler, c’était son pre­mier com­bat dans l’UFC.”

“J’ai pris l’avion pour Abu Dha­bi, donc à l’autre bout du monde sans aucun entraî­neur, et je suis allé le com­battre avec un gars que j’entraînais depuis six mois dans mon coin. Ce n’était pas la déci­sion la plus intel­li­gente, donc je sup­pose que cette fois-ci, je ne vais pas faire quelque chose de stu­pide ou vendre à nou­veau ma place.”

Hoo­ker est désor­mais plus concen­tré sur son mana­ge­ment et son équipe qui le guident. Il a révé­lé que l’UFC avait reje­té l’idée d’af­fron­ter Charles Oli­vei­ra ensuite, et qu’il serait éga­le­ment ouvert au pré­ten­dant n°1 Arman Tsarukyan.

“The Hang­man” est pas­sé de quatre défaites sur cinq à une séquence de trois vic­toires consécutives.

“J’apprécie beau­coup plus mon équipe et mes entraî­neurs qu’avant”, a décla­ré Hoo­ker. “J’ai eu une mau­vaise série pen­dant le COVID. C’était évi­dem­ment très dif­fi­cile en tant que com­bat­tant inter­na­tio­nal en com­pé­ti­tion pen­dant le COVID – sur­tout en Nou­velle-Zélande où nous avons eu cer­tains des confi­ne­ments les plus durs au monde.”

“On pou­vait voir dans ces com­bats que je le fai­sais sans mes entraî­neurs et sans mon équipe. Je sup­pose que lorsque je suis reve­nu, j’ai une plus grande appré­cia­tion du rôle que ces gars jouent dans ma carrière.”

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