Connect with us

Actualités

Le juge ordonne à Jorge Masvidal de rester à l’écart de Colby Covington

Jorge-Masvidal-UFC-MMA

La star de l’UFC, Jorge Mas­vi­dal, connait sa pro­chaine date d’au­dience concer­nant son attaque pré­su­mée contre le com­bat­tant rival et ancien ami et colo­ca­taire Col­by Coving­ton.

Alors que la plainte ini­tiale de Coving­ton dans le rap­port de police, dans laquelle il n’é­tait pas nom­mé, men­tion­nait une dent ébré­chée et une montre endom­ma­gée, des accu­sa­tions mises à jour jeu­di ont révé­lé Coving­ton comme la vic­time pure et simple, ajoute qu’il a subi une « lésion céré­brale » lors de l’at­taque présumée .

Le juge Zacha­ry James de la 11e Cir­cuit Court de Flo­ride a fixé au 12 mai la pro­chaine date d’au­dience, date à laquelle il est pos­sible qu’une date de pro­cès soit fixée. Mas­vi­dal a rete­nu jeu­di les mêmes plai­doyers de non-culpa­bi­li­té pour deux chefs d’ac­cu­sa­tion contre lui, comme il l’a­vait déjà fait par écrit après son arrestation.

De plus, une ordon­nance d’é­loi­gne­ment a été émise à Mas­vi­dal, qui doit se tenir à 25 pieds de Coving­ton et à 500 pieds de la rési­dence de Coving­ton. Il n’est pas non plus auto­ri­sé à contac­ter Coving­ton direc­te­ment ou indi­rec­te­ment. L’ordre de res­ter à l’é­cart a été accor­dé parce que Coving­ton a décla­ré qu’il “crai­gnait” Mas­vi­dal après l’at­taque présumée.

Mas­vi­dal ne s’est pas pré­sen­té en per­sonne avec son conseiller juri­dique, les avo­cats Mau­ri­cio Padilla et Brad Cohen, au palais de jus­tice Richard E. Ger­stein. Au lieu de cela, il était pré­sent vir­tuel­le­ment via un appel Zoom, tout comme Covington.

L’é­quipe juri­dique de Mas­vi­dal devrait dépo­ser une requête deman­dant un exa­men médi­cal de Coving­ton, ain­si qu’une ins­pec­tion de sa Rolex pré­ten­du­ment endom­ma­gée, avant de nou­velles pro­cé­dures judiciaires.

En mars, Mas­vi­dal a plai­dé non cou­pable par écrit pour des chefs d’ac­cu­sa­tion uniques de voies de fait graves entraî­nant des lésions cor­po­relles graves et des méfaits cri­mi­nels après une alter­ca­tion phy­sique pré­su­mée avec Coving­ton devant un res­tau­rant le 21 mars.

Mas­vi­dal a été arrê­té par la police de Mia­mi Beach et réser­vé le 23 mars. Il a dépo­sé une cau­tion de 5 000 $ et a été libéré.

Il y a huit jours, une pro­ro­ga­tion a été accor­dée à la demande d’un pro­cu­reur de l’É­tat et la pre­mière pro­cé­dure judi­ciaire a été repous­sée à jeudi.

Selon les rap­ports de police, la vic­time – désor­mais offi­ciel­le­ment connue sous le nom de Coving­ton dans les docu­ments judi­ciaires, ain­si que par son nom au tri­bu­nal par le juge James – s’est frac­tu­ré une dent et a subi une abra­sion du poi­gnet. Il a allé­gué que Mas­vi­dal avait cou­ru vers lui depuis sa gauche et l’a­vait frap­pé deux fois au visage devant le res­tau­rant Papi Steak.

Coving­ton a décla­ré à la police que Mas­vi­dal por­tait un masque chi­rur­gi­cal bleu, un sweat à capuche sur la tête et un pan­ta­lon de sur­vê­te­ment. En Flo­ride, une charge de voies de fait graves peut être éle­vée d’un crime au deuxième degré à une infrac­tion au pre­mier degré si l’au­teur pré­su­mé por­tait une “cagoule, un masque ou un autre dis­po­si­tif dis­si­mu­lant son iden­ti­té”, selon la loi pénale 775.0845.

S’il est recon­nu cou­pable, Mas­vi­dal pour­rait encou­rir jus­qu’à 15 ans de pri­son et / ou une amende de 10 000 $ pour coups et bles­sures graves au deuxième degré avec des peines sup­plé­men­taires pos­sibles pour l’ac­cu­sa­tion de méfait cri­mi­nel. Une accu­sa­tion de voies de fait graves pour crime au pre­mier degré pour avoir pré­ten­du­ment dis­si­mu­lé son iden­ti­té pour­rait entraî­ner une peine de pri­son pou­vant aller jus­qu’à 30 ans.

Dans ses seuls com­men­taires publics, Mas­vi­dal a qua­li­fié l’in­ci­dent pré­su­mé avec Coving­ton de “com­bat mutuel avec un autre athlète”.

Cliquer commenter

Commenter

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *