Pad­dy Pim­blett a peut-être été l’un des prin­ci­paux acteurs du record de l’UFC Lon­don, mais son chèque de paie n’a pas vrai­ment fait sau­ter la banque.

La sen­sa­tion de 27 ans a révé­lé mar­di dans une inter­view avec Bars­tool Sports qu’il avait gagné un salaire de seule­ment 24 000 $ pour sa vic­toire au pre­mier round contre Kazu­la Var­gas.

“Douze et 12”, a décla­ré Pim­blett. “Non, oui, 12 et 12, donc 12 pour com­battre et 12 pour gagner.”

Les bourses des ath­lètes de l’UFC sont géné­ra­le­ment dis­si­mu­lées à la vue du public pour les évé­ne­ments de la pro­mo­tion qui se déroulent en dehors des États-Unis, mais les com­bat­tants sont tou­jours libres de révé­ler leurs salaires.

Pim­blett a été salué comme une étoile mon­tante de l’UFC après ses deux pre­mières vic­toires dans la pro­mo­tion, qui ont toutes deux sus­ci­té beau­coup d’ inté­rêt par les médias et la fans. Le natif de Liver­pool a été l’un des piliers du retour de l’UFC à Londres same­di der­nier, un évé­ne­ment qui a bat­tu des records avec 4,5 mil­lions de dol­lars d’en­trée, le plus de l’his­toire de l’O2 Are­na, et a inci­té le pré­sident de l’UFC, Dana White, à l’ap­pe­ler “la plus grande Fight Night” de tous les temps.

Pim­blett a éga­le­ment reçu un bonus de 50 000 $ pour sa fini­tion sur Var­gas ce qui monte son salaire à 74 000$ dont 62 000$ de prime.

Mar­di, “The Bad­dy” a indi­qué qu’il savait dans quoi il s’embarquait lors­qu’il a signé son contrat actuel avec l’UFC.

“Cela aug­mente après chaque com­bat, mais vous êtes sous contrat, donc ce n’est qu’a chaque fois qu’ils veulent m’en offrir un nou­veau, qu’ils m’en offrent un nou­veau”, a décla­ré Pim­blett. “Donc, ce n’est qu’une de ces choses.”