Taylor Lapilus demande un combat avec Cody Garbrandt pour l’UFC 285

Alors qu’il attend de pied ferme la date de son pre­mier com­bat pour son retour à l’UFC, le poids coq Tay­lor Lapi­lus essaie de faire bou­ger les choses.

Lapi­lus, qui est actuel­le­ment clas­sé numé­ro 1 Fran­çais des ‑61kg dans le ran­king offi­ciel Boxe­mag, a publié un post sur twit­ter ce mer­cre­di, pro­po­sant à l’an­cien cham­pion de l’UFC Cody Gar­brandt un com­bat à l’oc­ca­sion de l’UFC 285 qui se tien­dra le 4 mars à Las Vegas.

“Cody, que dites-vous, le 4 mars, Auriez-vous la gen­tillesse de m’ac­cep­ter comme adver­saire, je pense que je cho­que­rais le monde.”

Lapi­lus, 30 ans, est sur une série de cinq vic­toires consé­cu­tives dont la der­nière fut face à Demarte Pena à l’ARES 5 pour le titre de cham­pion des ‑61kg de l’or­ga­ni­sa­tion. Cela fait main­te­nant plus de six ans que “Double Impact” n’a plus com­bat­tu avec l’UFC. Il a depuis réus­si à rem­por­ter sept vic­toires en huit sor­ties, rem­por­tant au pas­sage les cein­tures du GMC, du TKO et de l’ARES.

Gar­brandt, 31 ans, a débu­té sa car­rière pro en 2012 et est deve­nu cham­pion des poids coq de l’UFC en 2016, signant 11 vic­toires consé­cu­tives en autant de sor­ties. Pour son pre­mier et unique sacre, “No love” avait vain­cu Domi­nick Cruz lors de son sixième com­bat avec l’or­ga­ni­sa­tion Américaine.

Aujourd’­hui l’A­mé­ri­cain est sur une dyna­mique tout à fait dif­fé­rente, tota­li­sant cinq défaites lors de ses six der­niers com­bats dont deux face à T.J. Dilla­shaw, qui lui a déro­bé sa cein­ture lors de sa pre­mière défense. Lors de sa der­nière pres­ta­tion, Gar­brandt s’est incli­né par TKO au pre­mier round face à Kai Kara-France alors qu’il fai­sait ses débuts chez les poids mouche.

L’UFC 285 est l’un des évé­ne­ments les plus atten­dus de l’an­née car l’an­cien cham­pion des lourds-léger, Jon Jones, y fera son retour tant atten­du à la com­pé­ti­tion et aura l’oc­ca­sion d’af­fron­ter Ciryl Gane pour la cein­ture des poids-lourds ren­due vacante par Fran­cis Ngan­nou en début d’année.