Andreas Michael n’é­tait pas satis­fait de l’ap­proche de Kham­zat Chi­maev contre Gil­bert Burns à l’UFC 273.

Chi­maev (11−0) a pris un bon départ contre Burns dans la carte prin­ci­pale à la carte de same­di lors­qu’il l’a envoyé au sol avec un jab. Mais après le pre­mier round, un match que Burns a trans­for­mé en com­bat de chiens et a for­cé Chi­maev à creu­ser profondément.

Chi­maev a accep­té, échan­geant des coups de poing dans un va-et-vient qui a entraî­né la chute des deux hommes. Visi­ble­ment bou­le­ver­sé, Michael a été vu en train de crier sur son élève vedette et l’en­traî­neur-chef du All Stars Gym Suède a révé­lé ce qu’il avait dit à Chi­maev à la fin du deuxième tour.

“Les gens me demandent ce que j’ai dit à Kham­za à la fin du deuxième tour, c’est ce que je lui ai dit:”

“Arrête de te bagar­rer, arrête d’a­voir un com­bat de rue, uti­lise tes jabs et reste facile, c’est un com­bat facile si tu ne te bagarres pas, tout ce que tu as à faire et de le tenir avec ton jab et d’a­voir de la patience. Ne rend pas les choses plus dif­fi­ciles qu’elles ne doivent l’être.”

“Rien d’autre n’é­tait néces­saire, juste un jab rapide et par­fois un direct du droit en le gar­dant à dis­tance, pour ne pas être tou­ché par les cro­chets. C’est ce que je lui ai deman­dé. Je lui ai dit d’ar­rê­ter vou­loir faire le spec­tacle devant tout le monde et de res­ter simple. Pour ne rien for­cer, il suf­fit d’être rapide et léger sur ses pieds. C’é­tait le plan de match depuis le début. Plus facile que la lutte et plus facile que le grappling.”

“Gil­bert, avec tout le res­pect que je lui dois, est un guer­rier dur et cou­ra­geux. Tout l’a­mour et le res­pect à lui. Ces gars-là ont don­né un spec­tacle au public. Mais en tant qu’en­traî­neur, je ne me sou­cie pas du public, je me sou­cie du moyen le plus simple de gagner avec le mini­mum de dégâts. C’est mon tra­vail numé­ro un pour pro­té­ger le combattant.”

Tout le monde parle de la fin de la hype de Kham­zat ? Com­bien de com­bat­tants au début de leurs car­rières, même contre des adver­saires de pre­mier plan, n’a­vaient abso­lu­ment pas de per­for­mances brillantes dans leur car­rière. Dois-je les accu­mu­ler ? La liste des légendes des cham­pions conti­nue. Cela n’a aucun sens ! Un célèbre bas­ket­teur m’a dit une fois que c’é­tait dur de gagner, sacré­ment dur ! Mon opi­nion à ce sujet est que Kham­za était à 40% la nuit der­nière parce qu’il est entré avec l’é­tat d’es­prit qu’il vou­lait l’as­som­mer devant tout le monde. Qui se sou­cie de tout le monde ! Les gens ne vous sou­tiennent et ne vous aiment que lorsque vous gagnez, donc le seul objec­tif est de GAGNER ! Mais comme un guer­rier, il vou­lait une GUERRE.
J’é­tais très contra­rié parce que je crois et sais ce qu’il peut faire. Vous n’a­vez même pas vu ça Pour­tant c’est effrayant ! ”