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Ciryl Gane après l’UFC Paris : Tai Tuivasa est définitivement le puncheur le plus dur que j’ai affronté

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

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Crédit photo: UFC ZUFFA / Getty images

Il est indé­niable que Ciryl Gane a affron­té plu­sieurs des poids lourds les plus per­cu­tants de la liste de l’UFC. Et cette liste ne cesse de s’allonger.

Gane, l’an­cien cham­pion par inté­rim des poids lourds de l’UFC, a rem­por­té une impres­sion­nante vic­toire par TKO contre Tai Tui­va­sa lors de la tête d’af­fiche de l’UFC Paris qui s’est tenu ce same­di à l’Ac­cor Are­na, le pre­mier évé­ne­ment sur le sol fran­çais de la pro­mo­tion. C’é­tait une fini­tion impres­sion­nante, mais Gane (11–1) a dû endu­rer beau­coup pour obte­nir ce KO. Le Fran­çais a été envoyé au sol par Tui­va­sa au deuxième tour de leur com­bat et a dû affron­ter une grosse tempête.

Gane, qui a affron­té Fran­cis Ngan­nou, Der­rick Lewis, Junior Dos San­tos et d’autres princes du KO, a décla­ré que Tui­va­sa était le frap­peur le plus dur qu’il ait affronté.

“Ouais, à 100% (le plus gros pun­cheur)”, a décla­ré Gane aux jour­na­listes lors de la confé­rence de presse d’a­près-com­bat de l’UFC Fight Night 209. “Ngan­nou ne m’a jamais tou­ché pen­dant le com­bat, donc c’est impos­sible de com­pa­rer. Mais aujourd’­hui, Tai Tui­va­sa m’a tou­ché. Fran­cis Ngan­nou peut très bien tou­cher. Ce n’est pas là ques­tion. Mais aujourd’­hui, (Tui­va­sa) a été le pre­mier gars à me mettre sur le cul.”

L’UFC Paris était la pre­mière fois que Gane était véri­ta­ble­ment tou­ché dans un com­bat. Le com­bat­tant de 32 ans est géné­ra­le­ment très agile et connu pour sa mobi­li­té et ses esquives. L’ex­pé­rience était une pre­mière pour Gane.

“Rien”, a décla­ré Gane en se rap­pe­lant le sen­ti­ment d’a­voir été tou­ché. “Je n’ai pas eu le temps de me poser des ques­tions dans la tête. Je devais juste réagir. Alors je n’ai rien sen­ti, puis j’ai sen­ti le sol avec mes mains, et après ça j’ai vu ses jambes, alors j’ai attra­pé les jambes, et c’est tout. C’é­tait mon sen­ti­ment. Et après quelques secondes, j’é­tais de retour.”

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