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UFC

“Il n’y a pas d’excuse” : Alex Pereira donne ses premières réactions sur sa défaite face à Israel Adesanya à l’UFC 287

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

photo d'alex pereira

L’an­cien cham­pion des poids moyens de l’UFC Alex Per­ei­ra est reve­nu sur sa défaite de same­di face à Israel Ade­sa­nya lors du com­bat prin­ci­pal de l’UFC 287 qui s’est tenu à Miami.

Le bré­si­lien (7–2) ne se donne aucune excuse même s’il pense qu’il menait la ren­contre avant de se faire mettre KO. 

“Il n’y a pas d’ex­cuse. J’é­tais à 100% à l’en­traî­ne­ment, j’é­tais très confiant pour ce com­bat et je le démon­trais, mon­trant à quel point j’é­tais bien pré­pa­ré phy­si­que­ment et stra­té­gi­que­ment ; dans le pre­mier et le deuxième round, tout allait bien…”

“J’al­lais super bien… c’est ce que je pense.” “J’ai tou­jours par­lé des deux com­bats que nous avons eu en kick­boxing… Cer­taines per­sonnes ont dit – je veux dire tout le monde a dit- Ah mais Ade­sa­nya gagnait… Je pour­rais uti­li­ser ça mais ça c’est le com­bat que tu gagnes mais que tu peux tout de même perdre… tu peux te faire assom­mer comme je l’étais… !”

C’est la même chose qui s’est pro­duite, il gagnait les com­bats que j’ai gagnés à la fin, je gagnais le com­bat qu’il avait domi­né ! Au final c’est ce qui se passe il était mieux cette fois… C’é­tait son jour.”

“Je par­lais à Glo­ver [Teixei­ra], à mon équipe et je par­lais de tout là-bas, de tout ce qui s’é­tait pas­sé, de com­ment j’é­tais dans le com­bat, j’é­tais bien conscient de tout ce qui s’é­tait pas­sé, je pen­sais que je fai­sais très bien, je domi­nais le com­bat là-bas, le bles­sant. Il sait com­bien je lui ai fait mal.”

“Je peux déjà garan­tir de ma part que je n’ai de mau­vais sen­ti­ments envers per­sonne. Je veux être bon avec n’im­porte qui… ils m’ont sou­vent posé des ques­tions sur la riva­li­té. Je n’ai de riva­li­té avec per­sonne. Je ne suis pas un rival d’A­de­sa­nya… C’est mon rival à l’é­poque.
Il a prou­vé qu’il était meilleur que moi ce soir-là.”

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