Il reste seulement 24 heures à Conor McGregor pour se faire tester par l’Usada s’il veut combattre en 2023

Il sem­ble­rait qu’il ne reste que très peu de temps à Conor McGre­gor (22–6) pour faire le néces­saire avec l’U­SA­DA s’il sou­haite faire son retour dans l’Octogone de l’UFC cette année.

Selon MMA Ver­dict, « The Noto­rious » n’a main­te­nant plus que 24 heures pour réin­té­grer le bas­sin de test de l’agence amé­ri­caine d’antidopage et être admis­sible à concou­rir lors de l’UFC 296, qui sera le der­nier évè­ne­ment de l’année pour l’UFC. L’USADA exige que tous les ath­lètes soient tes­tés au moins six mois avant de par­ti­ci­per à un com­bat, mais la star de 34 ans ne semble pas vou­loir recon­naître que ces règles soient un obs­tacle à son retour.

Même si L’ancien cham­pion des poids plumes et des poids légers ne com­bat plus depuis près de deux ans, il a tout de même réus­si à faire la une grâce à de nom­breuses sor­ties média­ti­sées. L’Irlandais a été de nou­veau le visage de l’UFC récem­ment grâce à son rôle d’entraîneur sur la sai­son 31 de l’Ultimate Figh­ter.

« The Noto­rious » et l’ancien chal­len­ger du titre léger Michael Chand­ler (23–8) sont actuel­le­ment entraî­neurs pour la sai­son du TUF 31 et la tra­di­tion veut que les deux hommes se ren­contrent dans la cage à un moment don­né après la fin de la dif­fu­sion de l’émission.

Le pré­sident de l’UFC, Dana White, sem­blait opti­miste quant aux chances que le com­bat ait lieu cette année, tan­dis que McGre­gor décla­rait fer­me­ment que l’USADA n’était plus un obs­tacle entre lui et Chand­ler. Cepen­dant, l’USADA a clai­re­ment indi­qué qu’elle ne ferait pas de favoritisme.

À part si un miracle se pro­duit, il semble que les fans de MMA devront attendre au moins l’année pro­chaine avant de voir McGre­gor entrer à nou­veau dans l’Octogone. Si l’Irlandais décide de ne pas se pré­sen­ter a l’USADA comme conve­nu, il va cer­tai­ne­ment fal­loir trou­ver un nou­vel adver­saire à Chand­ler qui pour­rait bien ne pas vou­loir attendre que McGre­gor face le nécessaire.