La légende de l’UFC Kha­bib Nur­ma­go­me­dov aux com­bat­tants d’é­vi­ter de com­battre Col­by Coving­ton après avoir pré­ten­du­ment été atta­qué par Jorge Mas­vi­dal à Miami.

Coving­ton et Mas­vi­dal ont par­ta­gé une vive riva­li­té avant leur com­bat à l’UFC 272 le mois der­nier, le natif de Mia­mi s’é­tant par­ti­cu­liè­re­ment oppo­sé aux com­men­taires de son ancien copain concer­nant ses enfants. Au cours des entre­tiens d’a­vant-com­bat, Coving­ton a décla­ré que le com­bat­tant était un “père mau­vais payeur” et a sou­te­nu qu’il fai­sait du tort à ses enfants en les négligeant.

Et cela a aga­cé Mas­vi­dal, qui sem­blait tou­jours enga­gé dans une riva­li­té amère avec Coving­ton mal­gré le fait qu’il ait eu l’oc­ca­sion de l’af­fron­ter pen­dant 25 minutes lors de l’UFC 272. Mas­vi­dal a été arrê­té et incul­pé cette semaine pour avoir pré­ten­du­ment ten­du une embus­cade à Coving­ton alors qu’il dînait dans un res­tau­rant de Miami.

Main­te­nant, l’an­cien cham­pion des poids légers Nur­ma­go­me­dov a don­né son avis, disant à ses col­lègues poids wel­ters de refu­ser de com­battre Coving­ton dans le but de lui faire savoir que sa façon de par­ler ne sera plus tolérée.

“Si vous êtes plus fort que quel­qu’un à l’in­té­rieur de l’oc­to­gone, cela ne signi­fie pas que vous pou­vez insul­ter ses enfants”, a décla­ré Nur­ma­go­me­dov dans un com­mu­ni­qué publié sur son twit­ter.

“Per­sonne n’a le droit d’in­sul­ter la famille de quel­qu’un. Une fois que vous avez emprun­té cette voie, alors soyez prêt à étayer vos pro­pos. Vous avez été atta­qué par un com­bat­tant pro­fes­sion­nel, tout comme vous, de votre taille, et vous allez por­ter plainte contre lui à la police ?”

“Je pense que tous les poids wel­ters devraient refu­ser de com­battre Col­by”, a‑t-il poursuivi. 

“N’ac­cep­tez pas de vous battre avec lui, lais­sez-le s’as­seoir sans se battre, cela l’af­fec­te­ra pro­ba­ble­ment de manière signi­fi­ca­tive, ain­si que tous les com­bat­tants qui pensent même à insul­ter les familles, ce qui pousse les com­bat­tants à cher­cher quel­qu’un dans les res­tau­rants pour s’oc­cu­per de lui.”