Ian « The Future » Gar­ry pense que son com­bat contre Daniel Rodri­guez à l’UFC Char­lotte a mar­qué un tour­nant dans l’opinion publique.

Gar­ry (12–0) a eu besoin de moins d’un round pour deve­nir le pre­mier com­bat­tant de l’histoire du MMA à arrê­ter Rodri­guez (17–4) avec un spec­ta­cu­laire coup de pied à la tête qui a mar­qué le début de la fin de l’affrontement entre ces deux poids wel­ter, qui a eu lieu au Spec­trum Cen­ter à Char­lotte, N.C.

Ce résul­tat a per­mis à l’Irlandais de conser­ver son invin­ci­bi­li­té et reste sans doute la per­for­mance la plus impor­tante de sa car­rière jusqu’à pré­sent. En rai­son du franc-par­ler et du com­por­te­ment effron­té de Gar­ry, il y a une par­tie des fans qui prie pour ça chute. Il en est conscient, et il est ravi de faire taire les cri­tiques pour un moment.

“Si quelqu’un est assis ici et me cri­tique, alors c’est juste un hai­neux”, a décla­ré Gar­ry à MMA Jun­kie lun­di : “Parce qu’il n’y a abso­lu­ment rien que qui­conque puisse dire de sen­sé en ce moment pour par­ler néga­ti­ve­ment de moi. Je suis entré dans l’octogone et j’ai mis KO un gars qui n’a jamais été mis KO. Je l’ai fait avec une faci­li­té abso­lue. Non seule­ment je l’ai fait avec une aisance abso­lue, mais je l’ai fait avec le gars qui était clas­sé No. 15 dans le monde. Tout ce que vous pou­vez faire, c’est vous asseoir et dire : “Wow, ce mec est impres­sion­nant.” C’est tout. Si vous dites n’importe quoi d’autre, vous n’êtes qu’un haineux.” 

Gar­ry a reçu les éloges de plu­sieurs com­bat­tants connus suite à sa vic­toire qui lui a valu la Per­for­mance of the Night. Son men­tor et com­pa­triote Conor McGre­gor l’a féli­ci­té sur les réseaux sociaux, et le pré­sident de l’UFC, Dana White, était opti­miste à l’égard du pro­dige de 25 ans.

“Je suis ce que je dis que je suis,” affirme Gar­ry “Je sais de quoi je suis capable et il est temps que l’organisation et les gens qui doutent de moi le voient aus­si. Dana devrait être embal­lée par mon poten­tiel, parce que je suis une autre super­star en devenir.”