Pad­dy Pim­blett s’at­tend a être sou­vent défié alors qu’il pour­suit sa mon­tée en puis­sance à l’UFC.

Déjà recon­nu comme l’un des ath­lètes dont on parle le plus en MMA, le poids léger de 27 ans affiche actuel­le­ment un pal­ma­rès par­fait de 3–0 dans l’oc­to­gone après sa der­nière vic­toire contre Jor­dan Lea­vitt. Mais il n’a pas du attendre bien long­temps que Ter­rance McKin­ney ne l’ap­pelle après sa vic­toire à l’UFC Vegas 59.

Pim­blett n’a pas été le moins du monde sur­pris lorsque McKin­ney l’a appe­lé, car il sait qu’il n’y a pas de moyen plus rapide de se faire remar­quer qu’en essayant d’é­li­mi­ner la nou­velle super­star de l’UFC.

“Tout le monde veut me com­battre”, a décla­ré Pim­blett à l’UFC San Die­go. “Il a moins de 100 000 abon­nés et je suis à 1,8 mil­lion ou quelque chose comme ça. C’est pour­quoi ils veulent me com­battre. Mais aus­si, je ne suis pas un mec très effrayant.”

“Je n’ai pas l’air si inti­mi­dant. Les gens pensent “je peux le battre”, mais quand tu entres dans la cage avec moi et que tu dois résoudre le puzzle, tu ne peux pas.”

Selon Pim­blett, il a en fait inter­agi avec McKin­ney dans le pas­sé et il ne refu­se­rait pas le com­bat s’il lui était pro­po­sé. Mais il com­prend éga­le­ment que cela pour­rait être un match encore plus impor­tant une fois qu’ils se seront tous les deux dans le top 15 de l’UFC.

Cela dit, “The Bad­dy” s’at­tend à croi­ser le che­min de McKin­ney, mais reste à savoir si cela se pro­dui­ra tôt ou tard.

“Moi et Ter­rance avons déjà par­lé”, a décla­ré Pim­blett. “Dans le pas­sé, nous avons par­lé sur Twit­ter et nous avons en fait dit que nous nous bat­trions pro­ba­ble­ment dans quelques années, lors d’un évé­ne­ment prin­ci­pal sur une bonne grosse carte.”

“Mais il a évi­dem­ment vu com­ment j’ai explo­sé et il veut sau­ter la file d’at­tente et prendre le train en marche main­te­nant. Cela ne me dérange pas. Je com­bat­trai n’im­porte qui. Nous ver­rons ce qui se pas­se­ra au cours des pro­chaines semaines avec les quelques résul­tats légers et nous ver­rons ce qui se passera.”