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Ryan Garcia : “Je suis un peu fou, ouais, mais je suis prêt à détruire ce type”

Ryan Gar­cia (24–1) a récem­ment admit qu’il était “un peu fou” alors qu’il fina­lise ses pré­pa­ra­tifs pour ce qui pour­rait s’a­vé­rer être un com­bat déter­mi­nant pour sa carrière.

Same­di, au Bar­clays Cen­ter de Brook­lyn, à New York, il affron­te­ra son rival de longue date, Devin Haney (31–0), pour le titre poids légers junior de Haney.

Lors des séances d’en­traî­ne­ment média­tiques de mer­cre­di, il y avait à nou­veau des inquié­tudes concer­nant le poids de Gar­cia – il semble être en passe de com­battre en moins 66,6 kg et depuis l’an­nonce du com­bat de same­di, il y a eu des inquié­tudes plus larges concer­nant sa san­té mentale.

Gar­cia, 25 ans, a contri­bué à cette spé­cu­la­tion avec son com­por­te­ment étrange et son uti­li­sa­tion mal­avi­sée des réseaux sociaux. Lors de la confron­ta­tion face à face avec Haney mar­di, il sem­blait agi­té, et lors des séances d’en­traî­ne­ment média­tiques de mer­cre­di, il sem­blait hyper­ac­tif – ces deux appa­ri­tions contras­taient avec l’in­di­vi­du signi­fi­ca­ti­ve­ment plus calme lors des jours pré­cé­dant son com­bat avec Ger­von­ta “Tank” Davis (29–0) en avril 2023.

“Je suis rapide”, a décla­ré Gar­cia. “Je suis vif. Je suis fort. Vous avez vu à quelle vitesse c’é­tait. Je peux faire ça toute la jour­née. Ce type de moti­va­tion – toute la merde que j’ai tra­ver­sée. Je suis un peu fou, ouais, mais je suis prêt à détruire ce type.”

“Vous ne par­liez pas de Mike Tyson quand il était comme ça. Vous le res­pec­tez tous main­te­nant. Donc, vous devez me res­pec­ter. J’ai vu des trucs que je n’au­rais jamais dû voir, mais main­te­nant je suis un tueur.”

“Je n’ai pas été tes­té posi­tif pour une seule drogue. C’est tout ce que j’ai à dire. C’est moi.
“Aucune consé­quence [si je ne fais pas le poids]. Je peux le man­quer si je veux. C’est mon évé­ne­ment. Je plai­sante. Je vais faire le poids. C’est facile.”

“Je sais que je vais gagner, frère. Vous ne pou­vez même pas jouer au ping-pong déshy­dra­té, encore moins com­battre devant des mil­lions de personnes.”

Le pro­mo­teur de Gar­cia, Oscar De La Hoya, qui a déjà par­lé de ses propres pro­blèmes avec sa san­té men­tale, a insis­té sur le fait qu’il n’é­tait pas pré­oc­cu­pé par « King Ryan », son com­bat­tant le plus en vue. Mar­di et mer­cre­di, le res­pec­té entraî­neur de Gar­cia, Der­rick James, était aux côtés de son com­bat­tant et sem­blait tout aus­si peu préoccupé.

“Vous ver­rez un évé­ne­ment comme vous n’en avez jamais vu aupa­ra­vant”, a décla­ré Gar­cia, qui a déjà par­lé de ses pro­blèmes d’an­xié­té. “J’ai quelque chose de super de pré­vu.Je parle de l’en­trée, de la per­for­mance, du théâ­tral, et ensuite sur le ring, ça va être un bon pre­mier round. Peut-être que je vais le jau­ger, voir ce qu’il a, puis com­men­cer à le tou­cher, à le titiller un peu – et puis, sou­dai­ne­ment, 30 secondes après, je vais le faire tom­ber, le lais­ser se relever.

“Deuxième round, je vais le mettre K.O. Ensuite, on va faire la fête. On va deve­nir fous.
“J’ai enten­du ça – quand Devin Haney se fait tou­cher en spar­ring, il laisse par­tir les par­te­naires d’en­traî­ne­ment. C’est ce que j’ai enten­du. Je ne les laisse jamais par­tir per­son­nel­le­ment.

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