Jorge Mas­vi­dal réflé­chit à une solu­tion pour enfin sur­mon­ter la fai­blesse de sa carrière.

À l’UFC 272, Mas­vi­dal a com­bat­tu lors du com­bat prin­ci­pal, affron­tant son ancien ami et coéqui­pier Col­by Coving­ton dans l’un des matchs de ran­cune les plus atten­dus du sport ces der­nières années. Mal­heu­reu­se­ment pour Mas­vi­dal, les choses ne se sont pas bien pas­sées, “Game­bred” a été lar­ge­ment domi­né dans le com­bat et a per­du par déci­sion unanime.

Les choses n’ont fait qu’empirer pour Mas­vi­dal à par­tir de là, car il a été arrê­té pour avoir pré­ten­du­ment agres­sé Coving­ton devant un stea­khouse de Mia­mi deux semaines après leur com­bat. Depuis lors, Mas­vi­dal a fait pro­fil bas. Cepen­dant, il a récem­ment rom­pu son silence en par­lant avec le pod­cast IMPAULSIVE de Logan Paul, où il a refu­sé de com­men­ter ses allé­ga­tions actuelles aux­quelles il est confron­té, mais a par­lé de l’UFC 272 pour le pre­mière fois.

“J’é­tais furieux “, a décla­ré Mas­vi­dal. « J’é­tais bou­le­ver­sé et j’aime juste m’i­so­lé quand je deviens comme ça. C’est mieux pour moi. Prendre quelques jours pour com­prendre et si j’ai un pro­blème et que je ne peux pas le com­prendre, p****, alors c’est un vrai pro­blème. Je pour­rais échouer à quelque chose, mais si je pou­vais trou­ver un moyen de le répa­rer, alors je pour­rais reve­nir en arrière et y remé­dier à nou­veau, alors je pour­rais dor­mir en paix la nuit. C’est donc ce que j’ai fait depuis cinq, six jours, comme, ‘F ***’, puis j’ai éla­bo­ré un plan, et main­te­nant je vais exé­cu­ter ce plan.”

Ce plan est appa­rem­ment assez simple : Mas­vi­dal va lut­ter. Beaucoup.

Le « BMF » a recon­nu que Coving­ton s’é­tait avé­ré être un com­bat dif­fi­cile pour lui en rai­son de des apti­tudes en lutte supé­rieures de Coving­ton. Main­te­nant, cepen­dant, Mas­vi­dal a l’in­ten­tion de tout mettre en œuvre pour résoudre le problème.

“Retour­nez immé­dia­te­ment au tra­vail, d’une manière dif­fé­rente”, a décla­ré Mas­vi­dal. “Je fais ce sport depuis un bon moment… donc j’ai beau­coup de don­nées que je peux uti­li­ser pour reve­nir en arrière et com­men­cer à dis­sé­quer cela et voir ce qui fonc­tionne et ce qui ne va pas, pour résoudre ces énigmes. J’ai eu un pro­blème avec les lut­teurs. Cela fait quelques fois que j’ai eu des pro­blèmes. Pas des gars qui étaient seule­ment bons, mais avec les lut­teurs les plus remar­quables, j’ai eu un problème.

« Avec les lut­teurs, quand ils me sortent de mon élé­ment et qu’ils sont capables de conti­nuer à appuyer sur ce jeu de câlins, même lorsque je le ramène à une posi­tion neutre, je me dis : ‘F ***, j’ai dépen­sé beau­coup de puis­sance sup­plé­men­taire pour faire ça.” Donc, sachant ces choses, j’ai un plan et une for­mule légè­re­ment dif­fé­rents pour résoudre ces pro­blèmes que j’ai eu la plu­part de ma car­rière avec ces p***** de lutteurs.”

“Le meilleur pro­gramme du pays actuel­le­ment, depuis 10 ans, est Penn State”, a pour­sui­vi Mas­vi­dal. “J’ai de bons amis là-bas, donc je vais pas­ser du temps en Penn­syl­va­nie, lut­ter le matin, lut­ter le soir, lut­ter le matin, lut­ter la nuit et conti­nuer à faire ça, parce que je ne n’ai pas l’im­pres­sion de devoir tra­vailler ma boxe, sans être arro­gant, ou mes coups de pied. C’est là à tout moment. Je dois juste l’ai­gui­ser avant les com­bats. Donc, l’un de mes prin­ci­paux plans en ce moment est d’al­ler lut­ter jour et nuit et de voir ce qui en ressort.”

“Ensuite, reve­nir au MMA et voir où j’en suis. Je ne sais pas com­bien de temps ce voyage va me prendre. Je ne sais pas si je vais y aller six mois ou six semaines jus­qu’à ce que j’ob­tienne cette per­cée, mais je sais que cela vien­dra du simple fait d’être là-dedans.”

En tant que l’une des plus grandes stars de l’UFC, lorsque Mas­vi­dal revien­dra, les adver­saires poten­tiels ne man­que­ront pas pour le cham­pion “BMF”. Conor McGre­gor, Leon Edwards et un match revanche avec Nate Diaz ont tous été pré­sen­tés comme des com­bats qui pour­raient avoir un sens pour Mas­vi­dal ensuite. “Game­bred” dit qu’il ne s’en pré­oc­cupe pas pour le moment, mais chaque fois qu’il revient, il pré­dit la violence.

“Je ne pense même pas encore si loin”, a décla­ré Mas­vi­dal. “Je vais juste aigui­ser ces outils. Lut­ter, lut­ter et voir ce qui en sort. Et une fois que je sens que je me suis amé­lio­ré, que j’ai mon­té de niveau, que j’ai frap­pé un Super Saiyan sur tout le monde, nous sau­rons qui je vais assassiner .”