Le cham­pion du Bel­la­tor Jason Jack­son vient une nou­velle fois de défier Cedric Doum­bé.

Jack­son (18–4), n’a pas rete­nu ses mots lors­qu’il a expri­mé une nou­velle fois son désir ardent d’af­fron­ter Doum­bé (5–1) lors de son pro­chain combat.

Dans une inter­view accor­dée au Jaxxon Pod­cast, le Jamaï­cain n’hé­site à qua­li­fier Doum­bé de “dum­my” et de “Gum­my”, et veut mon­trer qu’il n’a pas de res­pect pour la car­rière MMA du Français :

“Ils (le public) croient vrai­ment que cet homme est une sorte de légende ou quelque chose comme ça. Mais il n’a rien fait en MMA.”

Il estime que l’ancien kick­boxeur n’a rien fait de signi­fi­ca­tif dans ce sport, en par­ti­cu­lier au PFL :

“Au PFL ou au Bel­la­tor, vous gagnez un com­bat et les gens pensent que cet homme va me mettre dans la tombe en par­lant de creu­ser une tombe pour moi. Écoute, si tu creuses une tombe pour moi, creuses en une pour toi juste à côté.”

Déter­mi­né à prou­ver sa supé­rio­ri­té, le com­bat­tant de 33 ans déclare : “Je vous le dis, je vais bles­ser cet homme.” Il ajoute avec fer­me­té : “Et une fois que j’ai dit quelque chose, je tiens parole, c’est une chose que je sais.”

Il espère même que Doum­bé rem­por­te­ra son pro­chain com­bat, car il sou­haite l’af­fron­ter à Paris, où il compte bien régner en maître mal­gré les huées et les pro­vo­ca­tions du public. Jack­son affirme avec confiance :

“Il pense que c’est un jeu et tout ça parce qu’il a plus de fol­lo­wers. Je m’en fous. Je m’en fous. Je suis prêt à aller dans la tanière du lion. Je veux entendre tout le monde huer une fois que j’y serai et que j’aurais fait ce que j’ai promis.”

Doum­bé (5–1) a fait son der­nier com­bat en mars, s’in­cli­nant face à Baki Chas­mou­di­nov au troi­sieme round suite à une bles­sure au pied. Selon le pré­sident du PFL, Donn Davis, Doum­bé devrait faire son pro­chain com­bat d’i­ci sep­tembre lors d’un évè­ne­ment pré­vu en Ara­bie Saou­dite au coté de Fran­cis Ngan­nou. Un com­bat pour le 27 mai à Paris lors du Bel­la­tor Paris 4 a éga­le­ment briè­ve­ment été évoqué.