Paris, France – L’UFC a annon­cé aujourd’­hui que son pre­mier évé­ne­ment en France, UFC Fight Night : GANE vs. TUIVASA, a géné­ré un impact éco­no­mique de 33,4 mil­lions d’eu­ros au pro­fit de la région pari­sienne, selon une étude réa­li­sée par le cabi­net d’é­tude Applied Analysis.

Retrou­vez les chiffres impres­sion­nants qui ont été com­mu­ni­qués dans un mail envoyé à Boxemag.com.

L’é­vé­ne­ment, qui s’est dérou­lé le 3 sep­tembre à l’Ac­cor Are­na, a four­ni 15 405 spec­ta­teurs et a rap­por­té plus de 3,4 mil­lions d’eu­ros de reve­nus liés à la vente de billets, un record pour l’a­rène . L’é­vé­ne­ment, qui suc­cède à plus d’une décen­nie d’ef­forts de l’UFC pour que le MMA soit désor­mais recon­nu et régle­men­té en France, a pro­cu­ré l’at­ten­tion du monde du sport avec de nom­breux fans aisés vers la capi­tale pour vivre ce moment historique.

Outre les com­bats et les acti­vi­tés connexes se dérou­lant dans l’a­rène, l’UFC a appor­té une contri­bu­tion signi­fi­ca­tive à l’é­co­no­mie pari­sienne. En plus des 33,4 mil­lions d’eu­ros (33,4 mil­lions de dol­lars) d’im­pact éco­no­mique total, l’é­tude a conclu que l’é­vé­ne­ment a éga­le­ment gagné à hau­teur de 16,1 mil­lions d’eu­ros en rému­né­ra­tions et salaires et sou­te­nu envi­ron 400 emplois dans la région parisienne.

Law­rence Epstein, Direc­teur des Opé­ra­tions de l’UFC, a décla­ré : « Le pre­mier évé­ne­ment UFC à Paris reste un évé­ne­ment sin­gu­lier et mémo­rable à de nom­breux atten­dus. L’im­pact éco­no­mique que l’UFC conti­nue d’a­voir dans les grandes villes du monde illustre l’en­ga­ge­ment de nos fans et l’am­pleur du prix par l’UFC et le MMA depuis plu­sieurs années. Le public fran­çais n’a pas déçu, et nous espé­rons que tout le monde a appré­cié son pre­mier évé­ne­ment UFC à Paris. Nous avons hâte de reve­nir en France ! »

L’é­vé­ne­ment a eu un impact impor­tant sur le tou­risme, puisque 67,9% des fans qui ont assis­té à l’é­vé­ne­ment sont venus de l’ex­té­rieur de la région pari­sienne, ce qui montre les avan­tages pour une ville d’ac­cueillir un évé­ne­ment UFC.

Parmi les chiffres-clés :

• Un total de 33,4 mil­lions d’eu­ros de pro­duits éco­no­miques pour la région parisienne
• 400 emplois géné­rés en région pari­sienne en lien avec l’événement
• 16,1 mil­lions d’eu­ros liés aux rému­né­ra­tions et salaires
• 711 800 euros de dégrè­ve­ment fiscal
• 3,4 mil­lions d’eu­ros de reve­nus liés à la vente de billets, un record pour l’Ac­cor Arena
• Un public essen­tiel inter­na­tio­nal : 32,1% en pro­ve­nance d’Île de France, 39,9% issus d’autres régions fran­çaises et 28% en pro­ve­nance de l’étranger.
  • Pour 1 per­sonne sur 5, il s’a­gis­sait du pre­mier voyage à Paris. Au total, 94,4% de ces spec­ta­teurs ont décla­ré être venus à Paris spé­cia­le­ment pour l’occasion
• 92 % des visi­teurs ont décla­ré qu’ils étaient prêts à assis­ter à un autre évé­ne­ment UFC à Paris à l’avenir
• 412 000 men­tions dans la presse en ligne et réseaux sociaux, repré­sen­tant 627,1 mil­lions d’eu­ros de valeur médiatique

Brian Gor­don, Direc­teur d’Ap­plied Ana­ly­sis, a décla­ré : “Le cumul de l’é­vé­ne­ment UFC orga­ni­sé à l’Ac­cor Are­na et des visi­teurs a géné­ré des ren­de­ments éco­no­miques impres­sion­nants. Les dépenses des fans de l’UFC se sont réper­cu­tées sur l’é­co­no­mie résul­tant dans des mil­lions de dol­lars d’ac­ti­vi­té éco­no­mique et de rému­né­ra­tion pour les sala­riés de la région”.

Méthodologie de l’étude

Pour éva­luer les impacts éco­no­miques, Applied Ana­ly­sis s’est appuyé sur les dépenses glo­bales de l’UFC et des spec­ta­teurs dans la région. Les don­nées four­nies des don­nées sur les ventes de billets, des enquêtes auprès des spec­ta­teurs aux évé­ne­ments, des four­nis­seurs de don­nées éco­no­miques tiers et des infor­ma­tions four­nies par l’UFC.

Aux fins de l’é­tude, les impacts éco­no­miques se concentrent sur la pro­duc­tion éco­no­mique, les salaires, les rému­né­ra­tions et l’emploi. En plus des impacts directs pro­ve­nant de l’UFC, l’a­na­lyse prend en compte les impacts indi­rects et induits, ou « l’ef­fet d’en­traî­ne­ment ». Les impacts indi­rects com­prennent les impacts secon­daires géné­rés par les entre­prises qui impliquent les acti­vi­tés éco­no­miques de l’UFC et des spec­ta­teurs, tan­dis que les impacts induits par les entre­prises qui béné­fi­cient des dépenses. Les impacts totaux subissent la somme des impacts directs, indi­rects et induits.

Si finan­ciè­re­ment l’é­vé­ne­ment a été un franc suc­cès donc, il en était de même dans la cage puisque les 5 repré­sen­tants Fran­çais pré­sents, Ciryl Gane, Nas­sour­dine Ima­vov, Benoit Saint-Denis, Fares Ziam et William Gomis ont tous rem­por­té la victoire.