Benoit Saint-Denis veut la “tête” d’Ismaël Bonfim à l’UFC on ESPN 47

Le poids légers Fran­çais Benoit Saint-Denis a eu l’oc­ca­sion de répondre à quelques ques­tions posées par les jour­na­listes Amé­ri­cains ce mer­cre­di à l’oc­ca­sion de la confé­rence de presse d’a­vant com­bat de l’UFC : Stri­ck­land vs Mago­me­dov.

Lors de cet entre­tient, BSD a eu l’oc­ca­sion de reve­nir sur son com­bat à l’UFC Paris 1, sa bles­sure durant la ren­contre et son pro­chain adver­saire, le Bré­si­lien Ismael Bon­fim.

Son com­bat à l’UFC Paris :

Cela a été la pire pré­pa­ra­tion que j’ai jamais eu, mais j’ai tout de même fait un bon com­bat. j’ai eu mon mariage le week-end pré­cé­dant, et j’ai aus­si eu une infec­tion. en plus je me suis bles­sé au doigt de pied durant le com­bat, après le pre­mier coup de pied. Mais c’é­tait tel­le­ment un grand hon­neur, c’é­tait tel­le­ment bien de pou­voir faire par­tie de l’his­toire du MMA Fran­çais en étant pré­sent et en étant l’un des pre­miers à com­battre en France à l’UFC. Je me devais d’être là et j’ai fait tout ce que j’ai pu pour être de la partie.

Ismael Bon­fim :

“Oui c’est un com­bat­tant bré­si­lien dur, un adver­saire redou­table, je pense qu’il est devant moi au clas­se­ment puis­qu’il a mis ko Ter­rence McKin­ney donc c’est un super oppor­tu­ni­té pour moi de mon­ter au clas­se­ment et je pense que cela va être un beau com­bat car c’est un bon adver­saire pour mon­trer ce que je sais faire.”

La suite, com­battre à Abu Dha­bi, aux USA ou en Europe ?

Il y a moins de jet lag en allant a Abu Dha­bi mais il y à l’UFC Paris donc… vous savez, je prends les com­bats les uns après les autres, pour com­men­cer je dois prendre la tête de Bon­fim same­di. Et si j’y arrive, bien sur j’ai­me­rais pou­voir com­battre en France, mais la pre­mière mis­sion est de vaincre Bonfim.

En cas de vic­toire, y a t’il un adver­saire pré­cis que vous visez ?

“Comme je l’ai dis, je pense que vous serez tous pré­sents après le com­bat, donc le pre­mier objec­tif est de prendre la vic­toire, faire le tra­vail, et après cela, ne vous inquié­tez pas, je vous dirais exac­te­ment ce que je veux.