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UFC – Tom Aspinall veut Tai Tuivasa pour son prochain combat

photo de tom aspinall

Après avoir réus­si un exploit que per­sonne d’autre n’a­vait fait depuis près d’une dou­zaine d’an­nées, Tom Aspi­nall a jeté son dévo­lu sur Tai Tui­va­sa.

Aspi­nall (12–2) a sou­mis l’ancien cham­pion des poids lourds du Bel­la­tor Alexan­der Vol­kov (34–10) au pre­mier round lors du com­bat prin­ci­pal de l’UFC Fight Night 204 qui s’est tenu ce same­di à l’O2 de Londres. Vol­kov n’a­vait plus été sou­mis depuis juillet 2010.

“Cela n’au­rait pas pu mieux se pas­ser”, a décla­ré Aspi­nall après le com­bat. “C’é­tait la per­for­mance idéale. Je pen­sais vrai­ment que j’al­lais faire cinq tours. Faire sor­tir un gars comme Vol­kov, qui a été ter­mi­né deux fois en 45 com­bats, au pre­mier tour montre ma capa­ci­té à finir. Ma capa­ci­té de fini­tion est la plus éle­vée du haut niveau.”

“J’aime bien mettre KO les gens. Je serai hon­nête. Pour moi, assom­mer quel­qu’un vaut mieux qu’une sou­mis­sion. Mais je vais pré­fère la sou­mis­sion plu­tôt que de faire cinq rounds.”

Avec la vic­toire, l’An­glais Aspi­nall a mon­té sa séquence de vic­toires consé­cu­tive à huit, toutes avant la limite. Il est sur un par­fait 5–0 lors de ses cinq pre­miers com­bats UFC en moins de deux ans, et cela même avec un niveau de com­pé­ti­tion de plus en plus difficile.

Avant sa vic­toire sur Vol­kov, Aspi­nall a fait appel à l’an­cien cham­pion des poids lourds Andrei Arlovs­ki et en sep­tembre der­nier a éli­mi­né Ser­ghei Spi­vac au pre­mier tour.

Main­te­nant, Aspi­nall, qui aura 29 ans le mois pro­chain, veut se concen­trer sur Tai Tui­va­sa, qui a rem­por­té cinq vic­toires consé­cu­tives par KO. En février, il a arrê­té Der­rick Lewis, rem­por­tant son troi­sième bonus consé­cu­tif de 50 000 $.

“Je suis un grand fan de Tai, grand bra­vo, Tai”, a décla­ré Aspi­nall. “La rai­son pour laquelle j’ai appe­lé Tai est, tout d’a­bord, que je suis un grand fan de son style. Deuxiè­me­ment, je suis un grand fan de sa per­son­na­li­té. La foule se déchaîne quand il se bat. Et appa­rem­ment, la foule se déchaîne quand je me bats. Alors moi et lui au Royaume-Uni, allez, mon pote. Quel bon moment ce serait. Ali­gnons-le (pour) la pro­chaine carte bri­tan­nique. Met­tez-moi et Tai des­sus – s’il vous plaît.”

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