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Wilder : ‘Je veux revenir aux grands combats, donner aux fans ce qu’ils veulent voir’

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L’an­cien cham­pion du monde des poids lourds et super­star de la boxe Deon­tay Wil­der a par­lé de son retour tant atten­du sur le ring dans un tout nou­vel épi­sode de “The Pivot Pod­cast” et a pro­mis de faire le maxi­mum pour faire plai­sir aux fans lors de son com­bat face à Robert Hele­nius pré­vu ce same­di 15 octobre au Bar­clays Cen­ter de Brooklyn.

“Je donne tout à 110%”, a décla­ré Wil­der. “Je dis aux gens qu’il ne me reste que trois ans dans ce busi­ness. Je veux reve­nir aux grands com­bats et don­ner aux fans ce qu’ils veulent voir, et c’est moi qui risque ma vie pour le diver­tis­se­ment des autres… Je le fais pour les gens cette fois. Il ne s’a­git plus seule­ment de ma famille, il s’a­git de tous ceux que j’ai moti­vés, ins­pi­rés et encou­ra­gés par­tout dans le monde.”

L’an­cien cham­pion du monde poids lourd WBC de longue date, qui a régné de 2015 à 2020 avec l’un des meilleurs pour­cen­tages de KO de l’his­toire de la boxe, s’est assis avec les co-ani­ma­teurs de l’é­mis­sion et les anciennes stars de la NFL Ryan Clark, Chan­ning Crow­der et Fred Tay­lor pour par­ler de ses débuts.

“Je n’ai jamais su pour­quoi j’a­vais un tem­pé­ra­ment ner­veux”, a décla­ré Wil­der. “Mais avec le temps, vous appre­nez à faire la part des choses et c’est mon his­toire. Je devais com­prendre ce qui valait la peine d’in­ter­ve­nir et ce qui ne l’é­tait pas. Sur­tout quand vous com­men­cez à avoir des enfants, car tout ce que vous faites les concerne. C’est à ce moment-là que j’ai dû com­men­cer à réflé­chir à mes actions, car je savais que si je n’é­tais pas dans leur vie, per­sonne ne serait nourri.”

“Lorsque vous mon­tez sur un ring de boxe, vous deve­nez orga­ni­sé”, a décla­ré Wil­der. “C’est une struc­ture et une dis­ci­pline. Il faut un cer­tain niveau pour com­battre et réus­sir à faire quelque chose. Quand j’ai eu ma pre­mière séance d’en­traî­ne­ment, j’ai réa­li­sé que je pou­vais être quel­qu’un. La seule rai­son pour laquelle je suis même allé au gym­nase était de deve­nir un « com­pa­gnon », parce que je le fai­sais juste parce que ma fille avait le spi­na bifi­da. Cela m’a conduit à la salle de gym.”

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