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Wilder : ‘Je veux revenir aux grands combats, donner aux fans ce qu’ils veulent voir’

Journaliste sportif depuis 2012. Axé essentiellement sur l'actualité des sports de combat. je m'efforce de relayer des informations fiables et vérifiées en gardant un maximum d'objectivité.

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L’an­cien cham­pion du monde des poids lourds et super­star de la boxe Deon­tay Wil­der a par­lé de son retour tant atten­du sur le ring dans un tout nou­vel épi­sode de “The Pivot Pod­cast” et a pro­mis de faire le maxi­mum pour faire plai­sir aux fans lors de son com­bat face à Robert Hele­nius pré­vu ce same­di 15 octobre au Bar­clays Cen­ter de Brooklyn.

“Je donne tout à 110%”, a décla­ré Wil­der. “Je dis aux gens qu’il ne me reste que trois ans dans ce busi­ness. Je veux reve­nir aux grands com­bats et don­ner aux fans ce qu’ils veulent voir, et c’est moi qui risque ma vie pour le diver­tis­se­ment des autres… Je le fais pour les gens cette fois. Il ne s’a­git plus seule­ment de ma famille, il s’a­git de tous ceux que j’ai moti­vés, ins­pi­rés et encou­ra­gés par­tout dans le monde.”

L’an­cien cham­pion du monde poids lourd WBC de longue date, qui a régné de 2015 à 2020 avec l’un des meilleurs pour­cen­tages de KO de l’his­toire de la boxe, s’est assis avec les co-ani­ma­teurs de l’é­mis­sion et les anciennes stars de la NFL Ryan Clark, Chan­ning Crow­der et Fred Tay­lor pour par­ler de ses débuts.

“Je n’ai jamais su pour­quoi j’a­vais un tem­pé­ra­ment ner­veux”, a décla­ré Wil­der. “Mais avec le temps, vous appre­nez à faire la part des choses et c’est mon his­toire. Je devais com­prendre ce qui valait la peine d’in­ter­ve­nir et ce qui ne l’é­tait pas. Sur­tout quand vous com­men­cez à avoir des enfants, car tout ce que vous faites les concerne. C’est à ce moment-là que j’ai dû com­men­cer à réflé­chir à mes actions, car je savais que si je n’é­tais pas dans leur vie, per­sonne ne serait nourri.”

“Lorsque vous mon­tez sur un ring de boxe, vous deve­nez orga­ni­sé”, a décla­ré Wil­der. “C’est une struc­ture et une dis­ci­pline. Il faut un cer­tain niveau pour com­battre et réus­sir à faire quelque chose. Quand j’ai eu ma pre­mière séance d’en­traî­ne­ment, j’ai réa­li­sé que je pou­vais être quel­qu’un. La seule rai­son pour laquelle je suis même allé au gym­nase était de deve­nir un « com­pa­gnon », parce que je le fai­sais juste parce que ma fille avait le spi­na bifi­da. Cela m’a conduit à la salle de gym.”

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